[Storyline du set] - #non corrigée# - Chapitre 3, 4, 5, 6 &

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Delirium

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Envoyé par Delirium le Jeudi 18 Août 2005 à 01:16


Cette storyline exceptionnelle et magnifique (fayote ) va-t-elle donner naissance à un Fun Set ?
Ou bien suis-je complètement à la masse ?

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Mimura

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Envoyé par Mimura le Jeudi 18 Août 2005 à 14:43


Tu es complétement à la masse puisque c'est la storyline de ce set fun qui a déjà toutes les cartes de son premier cycle

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Mimura

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Envoyé par Mimura le Jeudi 18 Août 2005 à 16:08


Chapitre 5 : Torturée

Elle ouvrit péniblement les yeux. Sa tête était une enclume un jour où le forgeron aurait vu sa femme le tromper. Toujours dans le brouillard aprés le violent coup qu’elle venait de recevoir, sans même encore chercher d’où celui-ci pouvait provenir, elle essaya de poser une main sur son front, en vain. Tentant à nouveau confirmant l’absence de succés, elle sentit une force lui relier les mains et les pieds. Afin d’élucider ce mystére grandissant elle fit un ultime effort afin de retrouver une vue normal. Elle n’était pas dasn la rue entourée de quidams venues lui porter assistance, elle se trouvait dans une étrange petite piéce en roche naturelle sur un sol de pierre recouvert de pailles. Cette piéce était en jonction avec d’autre par une porte pour l’instant fermée avec des barreaux.
Elle renouvella la tentative de mouvement de ses mains, définitivement impossible, jetant un oeil au dessus de son épaule, elle comprit pourquoi, ses mains et ses pieds étaient solidement attachés par des cordes. En plus de cela, son hobbe lui avait été retirée ainsi que ses chaussures, les seules vétements qui lui restait était une troncation cachant sa poitrine et s’arrettant avant le nombril et un short allant jusqu’à la moitié des cuisses.
L’espace d’un instant, le burlesque de sa position la fit rire doucement. Elle avait bon dos la régulatrice crainte et respectée de tous ainsi ligotée à demi-nue dans une prison à la mercie du premier pinpin venue suffisemment stupide et lâche pour l’assomer par derriére sans la moidre somassion. Il faudrait qu’elle se souvienne, par la suite, qu’une fois libérée, elle transforme son aggresseur en bouillit de glaires visqueuses et nauséabondes, encore conscient évidemment, afin qu’il médite son méfait durant le reste de sa vie de glaire. Mais, pour l’heure, elle en était incapable, c’est précisément ce qui la minait.
Elle se souvenait que certains livre du Centre d’information traitaient de l’utilisation de magie et de sort par moment de crise, parmis les différents moments cités dans ce bouquin apparraissaient le moment où l’on se retrouve dans l’impossibilité de se mouvoire tel qu’elle était en ce moment précis. Il était évident que cela l’aurait arrangé mais allez savoir quel ennemis se trouvait derriére la porte de sa cellule. Bien que le mot “pinpin” tournait autour de cette réponse il se pourrait fort bien qu’ils s’agissent également de mutins désireux de lui soutirer des informations, de régulateurs moins doués qu’elles afin qu’elle lui enseigne ses notions de son art voir carrément des péjoriens ayant infiltré le Centre et cherchant à le déstabiliser en enlevant des régulateurs. Cette derniére éventualité la fit frissoner, elle connaissait les péjoriens et elle savait qu’ils étaient sans pitié avec leur ennemis, si tel était la nature de ses kidnappeur elle ne reverrait plus jamais le Centre, elle serait torturée pour l’obliger à rejoindre leur cause et si elle s’y opposerait toujours, elle serait tué.

Le défaitisme s’emparra d’elle, elle s’imagina mourrante, ses cris de douleurs pour dernier souvenirs, peut-être l’enfer ensuite à cause de sa trop grande rancune pendant qu’elle était régulatrice. Elle tentait de se convaincre qu’elle n’avait pas était aussi méchante, n’avait-t’elle pas aussi fait de grande chose? Elle avait aidé le Centre, aidé le Centre en flagellant tous les eccins et ashaens... elle lui avait apporté des cartes, cartes qui avaient servit à faire la guerre... elle avait éxilé plusieurs personnes passibles de nuire, mais passible seulement, peut-être bon nombre d’entre elles avaient fauté par inatention et ne méritaient pas un tel traitement...
RadicalEdg69 s’écroula, le visage contre la paille, et se mit à pleurer à chaudes larmes, la tristesse et l’abandon l’envahissait, elle ne voulait pas mourir, elle devait réparer trop de chose qu’elle avait causé malencontreusement dans sa période de trouble. Comme un film qu’on décrit si souvent pendant un accident, elle se remémora à nouveau le déroulement de sa vie, l’arrivée au Centre, la galére, l’apprentissage, les combats, la gloire et les honneurs, Mimura, les mutins, la haine... En se rapellant de Mimura, elle eut un moment d’espoir, peut-être allait-t’il la sauver maintenant, il arriverait avec tous ses frouncs et la sauverait des griffes des méchants qui l’avaient enlevée.
“Enfin... non pas avec les frouncs, pensa-t’elle, je suis ligotée et pieds nus, ils seraient capables d’en profiter...”
Elle se questionna un instant sur sa santé mental et se mit à rire de désespoir, elle révait ou quoi? Mimura n’était plus revenu depuis un an, pourquoi reviendrait-il maintenant? Et comment ferait-il pour la trouver? Peut-être demanderait-il à David...
“David! Mais oui!”
Elle se souvenait du grand dirigeant qui voit tous du Centre, une autre particularité d’un régulateur était un sort inséré en eux qui leur permettait à tous moments de converser avec un des trois dirigeants du Centre, Tharkun, Slivo et David, le Message Privé que cela s‘appelait.

Dans un élan d’espoir elle se mit à appeler David par son Message Privé, envoyant des appels appel à base de “David!” et “David réponds!” effrénés mais en évitant de le faire trop fort afin que les aggresseurs de l’entendent.
Aprés quelques dixaines de secondes continuent, David finit par répondre et lui écoula une série de mot sans même qu’elle n’ait encore pus lui décrire sa situation délicate :
“C’est toi RadicalEdg69? Ca tombes bien... écoutes, je viens de discuter de toi avec Tharkun et on a été d’accord sur le point que tu es beaucoup trop ambigue, tu éxiles sans même nous en informer beaucoup d’eccins et même parfois des ashaens, tu refuses la plupart des cartes que tu es chargé de réguler dans le Centre de cartographie. Tu donnes une trés mauvaises images des régulateurs, beaucoup de citadins te détestent, bref, c’est devenue trop lourd à porter pour nous, désolé RadicalEdg69 mais nous devons te retirer ton statu de régulatrice...”
Cette nouvelle vint tel un coup de point dans l’estomac aprés trois jours de jeun, ce pour quoi elle avait tans travaillé s’en aller en fumée en quelques secondes, mais peut-être l’avait-elle mérité aprés tous, c’était mieux ainsi, elle aurait tout le temps pour se libérer l’esprit de sa rancune dés lors qu’elle serait libérée, mais pour l’instant elle devait parler de ceci à David, elle se fichait de plaider sa cause.
“David, j’ai un problême, je me suis faites enlever par quelqu’un ou quelques uns. Je suis ligotée dans une sorte de prison de grotte, il faut que tu m’aides!”
“Je suis désolé RadicalEdg69 mais je n’ai pas le temps de me consacrer à tes problêmes surtout qu’aprés tout c’est toi qui les a provoqué, alors à toi de t’en sortir, ceci était mon dernier message et c’était ton dernier aussi, maintenant je te retirer ton grade, tu ne bénéficies plus du Message Privé et ta Banguette n’est plus utilisable non plus, aurevoir.”
Elle sentit son corps s’affaiblir, c’était la fuite du mana suplémentaire qu’obtenaient les régulateurs tans qu’ils le restaient. Maintenant elle était seule, une proie facile, mais elle s’en fichait, elle était prête, elle n’avait plus rien à perdre.

*

Aprés une attente interminable la porte de sa cellule s’ouvrit. D’abord dans le noir, les habitants de la grotte avancérent pour se retrouver à la lumiére, comme elle l’avait pensé en premier lieu, il s’agissait bien de pinpins, ils étaient trois, habillés sobrement comme la plupart des pinpins d‘habits verts reconnaissable par leur estéthique faible résultante de leur faible prix, mais qu’avaient-ils en tête?
Reprenant son assurance, comme un taureau qui se débat une derniére fois pendant une corida avant de recevoir le coup d’épée de grâce, l’ex-régulatrice leva la tête comme pour leur faire face même si elle les regardait d’en bas, dans une situation peu confortable.
“Bien! Commença le pinpin le plus en avant, vraisemblablement le chef de cette petite organisation nuisible, je supose que tu dois te demander pourquoi nous t’avons enlevé ma chére...”
“Pas la peine de me tenir des discours! Dit-elle, coupant net l’élan théatrale du nuisible, vous n’êtes qu’une bande de lâche tout juste bon à assomer quelqu’un dans son dos, détachez-moi et nous verrons si c’est toujours aussi facile de face!”
“Ce n’est pas trés malin de nous insulter dans la position dans laquelle tu te trouves” Il afficha un large sourire face au trophée que représentait RadicalEdg69 allongée au sol. Elle ferma les yeux, attendant une sentence qu’elle ne doutait pas d’être douloureuse, peut-être allaient-t’ils la violer? Le fer au rouge sur sa peau pâle, lui briser les doigts, lui insérer des aiguilles dans ses nerfs, la fouetter, la rouer de coups, lui casser les dents, lui crever les yeux, lui arracher la langues, tans de tortures dont elle avait prise conscience au Centre d’information et qu’elle avait espérer ne jamais endurer, elle en oubliait pourtant une, celle qui allait lui être soumise. Une larme coula de son visage d’ange déchue.
“Comme c’est mignon! Repris le pinpin, voila qu’elle pleure!” il se baissa et lui saisit le visage, “Tu sais, nous pourrons être clément avec toi, ta magie est puissante, c’est indéniable, nous avons tous les trois l’intention de rejoindre le groupe de péjorien du grand boulay dans les montagnes, la révolution est en train de se préparer, le Centre sera bientôt à feu et à sang et les péjoriens en seront les nouveaux maître, rejoins-nous et tu seras dans le bon camp.”
Elle réouvrit les yeux, fixant le vil de toute sa haine.
“Jamais!” Hurla-t’elle
“Quel dommage... pourtant avec tes talents cela aurait été deux fois plus rapide, mais je supose que tu es le genre de personne intégre qu’on ne peux retirer du droit chemin, mais pourquoi ne pas tenter de te faire changer d’avis? De plus tu n’as plus grand chose à perdre, tu n’es plus régulatrice.”
“Comment savez-vous ça?”
“Nous savons beaucoup de chose, nous avons des espions un peu partout dans le Centre, des pinpins, des eccins, des asheans et même quelques régulateurs! C’est grâce à eux que nous vaincrons!”
“Quels ashaens?”
“Et bien... quelques uns dont l’énnumération serait longue, Talok par exemple, mais surtout l’ensemble des mutins.”
“T... Tous les mutins?”
“Et oui! Tous les mutins! Ca fait beaucoup n’est-ce pas? Tu te rends donc compte de la puissance que nous sommes maintenant n’est-ce pas? Acceptes-tu maintenant?”
Le visage de RadicalEdg69 referma de nouveaux ses paupiéres dans une moues de désespoir sachant que tout ce pour quoi elle avait tans travaillé tomberait aux mains de ce qu’elle détestait, pleurant de nouveaux, elle fit un signe de la tête indiquant la négativité inchangé de sa réponse.
“Bon! Cette fois-ci tu commences sérieusement à m’énerver, puisque les seules paroles ne suffisent pas, nous allons passer aux actes, soulevez-la! Nous allons l’emmener où vous savez.”

Bien que se débattant, les pinpins n’eurent aucun mal à la prendre chacun d’un coté pour la soulever et l’emmener, voyant son impossibilité à les en empécher, elle garda ses forces et se laissa faire.

**

Arrivé dans la salle promise, elle fut posée sur une chaise, les bras derriére son dos attachée à nouveau à celle-ci.
“A quelle torture vais-je donc gouter? Dit-t’elle avec hardiesse, le fer rouge peut-être?”
“Oh que non! Ce serait idiot d’habimer un corps qui pourrait servir à notre cause par la suite!”
“Vous allez me violer?” Repris-t’elle alors sur un ton plus bas, presque silencieux au moment de dire le mot “violer”.
“Tu aimerais? Répondit le pinpin sur un ton sarcastique, mais non! ne t’en fait pas, nous n’allons pas non plus te violer, d’autant que je ne pense pas que ce soit particuliérement efficace...”
“Qu’allez-vous me faire alors?”
Un du groupe qui étaient partie chercher quelque chose revint avec une sorte de socle de bois de la hauteur d’un escabeau comportant deux sangles trés proches l’une de l’autre au bord de cet étrange siége de bois. Attrapant alors les jambes de la captive, les deux pinpins étachérent les liens retenant ses chevilles puis, avant qu’elle n’ait pu opérer le moindre mouvement, s’empressérent se les poser sur l’escabeau et de les attacher l’un contre l’autre sur celui-ci à l’aide des sangles, ses pieds tombant dans le vide.
“C’est une torture plus subtile, repris le chef, dont l’idée nous a été donné en voyant les vidéos du match que tu avait disputé contre Mimura, nous nous sommes dis que cela serait des plus efficasses!”
Qu’est-ce qu’il pouvait bien sous-entendre par là? Elle essaya de se remémorer l’ensemble de ce combat, les choses de la vie? Non, il avait dis qu’il ne la violerait pas... Jit-anne, elle ne voyait pas en quoi la faire fumer ou l’empécher de fumer serait une torture... à moins que ce ne soit... les frouncs! Elle comprit immédiatement en voyant ses pieds dénudés alors que, dans le fond de la grotte, arrivée une chêvre tenue par l’autre membre des pinpins.
“Non! Non pitié pas ça!” Hurla-t’elle en se débattant subitement ayant saisi le suplice qui allait lui être infligé.
“Il semblerait que tu ai comprit, repris le chef le sourire aux lévres, et ta réaction me porte à croire que nous avons bien choisis, je vais tout de même faire une légére et derniére vérification...”
Il fit passer un de ses doigts sous la plante de RadicalEdg69 qui sursauta tout de go tenta de nouveau de s’y soustraire sans grand résultat.
“C’est bien ce que je pensait, ça ne va pas être triste visiblement... Emmenes la chêvre par ici!”

La chêvre approchant inéxorablement de ses pieds dévoilés, le chef posa une aura sur l’animal dont il dirigea la cible sur la partie chatouilleuse de l’anatomie de RadicalEdg69 mise à la disposition de la bête.
“Désormais cette brave chêvre n’aura de cesse de te lécher cette endroit sensible que tu tentais tant de préserver à l’époque, je pense que tu ne supporteras pas plus de cinq minutes cette torture alors si jamais tu es prés à répondre à nos exigences, cris «J’acceptes!» et nous arréterons le suplice. Maintenant je te laisse à tes amusements!”
Et, s’adressant à son acolyte : “Laches donc la chêvre!”

Ainsi libérée, l’animal démoniaque aux yeux de la pauvre RadicalEdg69 arriva jusqu’à ce qu’elle sente son souffle chaud sur ses orteils et sentie sa langue rapeuse parcourire sa plante sensible provoquant chez elle une furie de rires et de suplications nerveuse qu’elle ne pensait jamais avoir à dire.

***

Toujours sous la torture, la pauvre torturée était complétement fourbue, cela faisait déjà plus de trois heures que ses pieds étaient ainsi mis à mal par la langue de la chêvre, elle aurait cent fois préférée se faire tuer immédiatement que d’endurer une telle chose, c’est pourquoi ce que dit le pinpin en retirant la bête lui déplut énormément. Face à son visage de déesse se retrouvant en enfer, il lui fit savoir qu’il ne comptait pas la laisser se faire chatouiller jusqu’à la mort, jusqu’à son épuisemment total, c’est ainsi qu’il lui annonça trés clairemment qu’ils feraient des pause de trois heures toutes les trois heures afin qu’elle récupére, pour mieux recommencer ensuite... Bien évidemment ils la nouriraient et la feraient boire, elle était trop précieuse pour la laisser mourire.

Ainsi attachée dans ce sordide cacheau à flan de montagne, proche du Centre comme l’enfer est proche du paradis, elle n’était pas aux bouts de ses peines...
Dans trois heures recommençait la chêvre.

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Dead

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Envoyé par Dead le Jeudi 18 Août 2005 à 19:17


hahaha le supplice de la chèvre ^^' Toujours très bien tes chapitres mais énormément de fautes ^^

En passant j'ai une question... Les cartes du premier set seront tous resensés ? Ou seulement les "rôles principaux" ?

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Mimura

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Envoyé par Mimura le Jeudi 18 Août 2005 à 22:20


Eh eh, Tu veux savoir si tu apparaitra dans la storyline en gros , a dire vrai je ne sais pas trop mais je ne pense pas, en tout cas pas directement, mais surement de la même maniére que David ou Satone, par personnes interposées, genre quelqu'un se souvien de toi et te cite dans ses pensées, sinon tu peux apparaitreu un court instant, je verrais.

De toutes façon je vous rapelle que mon cerveau dégénéré génére l'histoire petit à petit à partir d'un patron de storyline squelettique, je n'avait même pas prévue de me mettre en tans que l'amant de RadicalEdg69 dans sa mémoire avant, en fait la seul chose que j'avait réellement prévu depuis lors ormis le déroulement de l'histoire c'est la torture de la petite Edounette, je le lui avait promis, je pense qu'elle apprécie
Donc pas la peine de poser des questions sur la storyline autre que sur les chapitres déjà parru, car la réponse sera fréquemment "J'en sais rien!"

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Envoyé par Dead le Jeudi 18 Août 2005 à 23:11


Eh eh, Tu veux savoir si tu apparaitra dans la storyline en gros , a dire vrai je ne sais pas trop mais je ne pense pas, en tout cas pas directement, mais surement de la même maniére que David ou Satone, par personnes interposées, genre quelqu'un se souvien de toi et te cite dans ses pensées, sinon tu peux apparaitreu un court instant, je verrais.


Devin ??? Ben je dois dire que j'aime qu'on parle de moi ^^' C'est une qualité tout en étant un défaut ^^

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Envoyé par Mimura le Vendredi 19 Août 2005 à 00:33


Lol tu sais Dead sans vouloir faire de l'élitisme ou de favoritisme ton apparition dans le premier cycle réléve surtout du miracle, si tu n'était pas arrivé pendant la consception des capa en me proposant ta carte par mp elle ne serait jamais apparu
Maintenant elle y est et j'ai d'ailleur dans l'idée de la remasteriser en Unco dans le second cycle puis en rare dans le troisiéme, toujours avec un rapport de choix de chiffres.

Concernant la storyline, j'ai peut-être une idée, tu apparaitrait simplement de temps en temps ainsi :

Dead passa, " *Une connerie en rapport avec l'action se déroulant* ", Dead partie.

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Delirium

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Envoyé par Delirium le Vendredi 19 Août 2005 à 02:03


Est ce que j'aurais le droit de participer à la conception des cycles suivants ??

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Envoyé par Mimura le Vendredi 19 Août 2005 à 03:20


Chapitre 6 : Sauvetage romantique

La tête ailleurs, Mirweys descendait la montagne tranquillement d’un pas plus ou moins rapide, il avait vécu une année entière dans les montagnes, il avait eu le temps de faire plusieurs randonnées plus ou moins volontaire et cela lui avait rendue les jambes plus résistantes et, évidemment, plus musclées.
Les deux jours qu’ils venaient déjà de passer à descendre le long de la montagne lui avait beaucoup donné à réfléchir, il était certains désormais qu’il avait fait le bon choix en retournant au Centre, il se ferait reconnaitre de nouveau, il mettrait à jour la sordide organisation des mutins et il retrouverait la trace de ses anciens amis. Ormis Mimura, il se rapellait de quelques autres, Anthony, un cartographe à mi-temps, Cromat, un régulateur avec qui il discutait souvent au forum de cartographie, et même RadicalEdg69 qui, même s’il ne lui avait jamais parlé, était un modéle de beauté fatale pour lui. Certe elle n’était pas du genre fille facile, c’était même le contraire, mais les fois où il l’avait aperçu avec Mimura, elle resplendissait, toutes sa fraicheur et son charisme s’évanait de son être, on eû dit alors une véritable représentation de vénus vivante, la perfection à l’état pûr.
S’il n’avait jamais cherché à lui parler, c’était avant tout car Mimura sortait déjà avec elle, et qu’il ne voulait pas risquer d’être attirait par la possibilité d’essayer de la charmer, bien qu’il pensait au fond de lui qu’il aurait eu du mal à rivaliser, non pas qu’il avait moins de charme ou de talent que son ami, simplement il savait que ce qu’aimait la régulatrice chez Mimura, c’était son humour, et ça, Mirweys le maniait assez mal. Il avait d’ailleur toujours envié Mimura pour cela, l’humour parfois décalé, parfois sarcastique, toujous bien placé qui émanait de lui, il avait réussi à charmer beaucoup d’ashaenne et d’ecinne de cette façon, mais il avait fallut qu’il lui pique RadicalEdg69, c’était tout de même un peu fort!
“Zut!” Cria-t’il en tapant du pied sur un rocher. Action forte intelligente si elle en est, la pierre dévalla quelques mêtres, tomba d’un mur sur la tête d’un meneur de brigade péjorien, l’assomant net. Voyant cela, les membres de l’escouade se mirent en recherche du responsable qui ne tarda pas à se dénoncer, Mirweys fit son apparition au dessus du murée.
“Eh! Toi! Cria l’un des péjoriens, c’est toi qui a fait ça?” Il désigna son chef à terre, le visage à moitié déformé rajoutant encore de la stupidité à un être déjà bien fourni dans ce domaine.
“Et bien... commença à répondre l’accusé sur un ton géné, effectivement, c’est moi qui ai fait ça, même si c’était comme qui dirait, un accident...”
“Accident ou pas tu va payer pour ça, tu as deux choix, soit nous te tuons immédiatement, soit tu nous suis et tu feras trois mois de travaux forcé!”
“...soit tu nous soudoi pour qu’on te laisse tranquille!” ajouta l’un des péjoriens qui, visiblement, ne perdez pas le nord.
“Imbécile! Lui répondit le premier, si on le tue on aura forcément son argent!”
“Ah... effectivemment, vu sous cet angle... donc rectification, soit c’est les travaux forcé, soit tu nous soudoi et on te tue!”
“Il y a une troisiéme solution je pense, répondit Mirweys qui attendait impatiemment de pouvoir en placer une, vous me laissez tranquille et je ne vous tue pas!”
Réaction prévisible à un tel élan d’hardiesse ou de naïveté stupide, les soldats se mirent à rire à gorges déployés, les rires de péjoriens n’avaient rien d’un vrai rire, c’était plutôt une sorte de rire entre un rire forcée et un rire fort, évidemment le tout faisant penser aux cri d’un phacochère en ruth avec la tronche d’une personne normal sur qui on aurait fait un sort de démence, vous voyez le rire sadique et froid des grands méchants des films, ben ça n’a rien à voir...
Aprés ce laps de temps passer à montrer à Mirweys à quel point ils pouvaient être pathétique, chose qu’il savait déjà, le péjorien se releva, car effectivement ils ne pouvaient pas non plus s’empécher de se rouler par terre lorsqu’ils riaient, je n’avait pas oser vous le dire, je me suis dit que ça aurait fait trop en une seule description mais comme vous avez pus le remarquer ils ont vraiment toutes les tarres, et s’addressa à celui qui avait causé son éclat.
“Tu es un marrant toi! Repris-t’il en laissant encore trainer un soupsond d’humour se convainquant lui-même qu’il était horriblement drôle, faisant de ce fait à nouveau marrer ses collégues dans la même hilarité que celle précédemment décrite et dont je vous épargnerais les détails afin de ne pas vous pousser à, dés lors, sauter tous les passages traitant des péjoriens. Mais bon c’est bien beau d’avoir rie mais maintenant tu vas nous dire ce que tu préféres, mais bon je ne te caches pas que pour les travaux forcés je m’occuperais particuliérement de toi afin que tu travail le plus durement possible.”
Il tenta de faire une expression sadique par son visage immature ne faisant apparaitre qu’une grimace plutôt réussis... pour une grimace.
“La peste soit des péjorien!” Hurla Mirweys en plaquant sa main contre son torse faisant jaillir une série d’éclair sur tout les membres du peloton les grillants sec avant même qu’ils n’aient le temps de faire la moindre action pour essayer de prouver qu’ils étaient capable de faire une action, chose qu’attendait toujours de voir Mirweys qui ne voyait jusqu’alors, dans les péjoriens, que de petits nuisibles à la maniéres d’un tétard, grande gueule mais petite queu...
“Je suis pressé!” Reprit-il en sautant du muré, slalomant entre les cadavre pour, finalement, reprendre sa route vers le Centre.

*

Continuant sa route, il évita désormais de ne plus cogner de caillou, non pas qu’il redoutait l’affrontemment avec d’autre péjoriens, c’était plus facile que de dessouder un oiseau ayant une aile brisé avec un rocher, mais c’est surtout que sinon le reste de l’histoire eût été inutile s’il s’amusait déjà à détruire la clique des péjoriens...
Arrivant finalement vers le bas de la montagne, il vit réapparaitre la verdure. Attrapant une herbe de sa main, il l’humecta quelques secondes. Cela faisait longtemps qu’il n’avait plus ressentit l’odeur de la nature dans son nez, là-haut dans sa grotte, à l’exeption du liquen, il n’y avait pas de manifestion verdoyante, et on ne pouvait pas tellement dire que le liquen était bon à sentir ou à manger, tout du moins pour une personne normalement constitué, ce qui fit penser à Mirweys que les péjoriens devaient certainement en faire la plupart de leur repas.

Continuant sa route, il se rendit rapidement compte que la verdure apparaissait de plus en plus, il marchait désormais sur un tapis vert doux au touché changeant vraisemblablement de la dureté des rochers. Il se trouvé toujours à flan de montagne mais déjà il apercevait les premiers arbres et, au loin, trés au loin, le Centre, avec son imposant tour ATP et le reste de son immense structure auquelle aucune ville ne pouvait rivaliser.
Voyant ce spectacle radieux, il s’assie dans l’herbe et contampla ce paysage, le Centre, grand et magnifique, au milieu d’une nature luxuriante sous un ciel de fin d’aprés-midi, balayant le sol et les batiments lointains d’une lumiére orange le tout se floutant plus ou moins dans une brume s’évaporant des lacs alentours. Une vue suffisemment belle pour vous faire regretter l’absence d’illustration dans ce récit.
Dead passa , “Un tel paysage! Ca chatouille les sens!” Dead repartit, Mirweys se retourna, étonné, ne vit personne, jusqu’à ce qu’il entendit des cris peu perceptible, voilées par le champs des oiseaux mais qui, si on y prétait suffisemment l’oreille, s’aparentaient à des hurlements de femme.
Cherchant à en être certains, Mirweys se releva et avança en sens inverse vers le flan de la montagne en suivant le son féminin qui semblait en émaner. Plus il s’approcha et plus le son qu’il l’avait pousser à rebrousser chemin s’amplifia, il comprit alors que ce n’était pas des cris mais des rires, il s’agissait simplement d’une femme en train de rire, comme quoi il y a encore matiére à rire pour des habitant de la montagne...
Comprenant qu’il n’y avait, apparemment, aucun danger pour la femme en question, Mirweys s’appréta à se rediriger vers le tableau qu’il contemplait et dont les éclats l’en avaient tiré quand il entendit un mot qui le fit changer d’avis : “Pitié!”. Faisant fonctionner sa cervelle qu’une année passée prés des péjoriens avait ramollie, il se convaincu rapidement qu’une donzelle à qui on raconte une bonne blague ne demande pas clémence, il semblait évident que cette femme était soumise à un régime qui ne la convenait pas et dont elle voulait se soustraire, parallélement à ça ce régime la faisait rire, mais bon... chacun réagis différemment face à son malheur, il n’a pas à juger...
Comprenant donc la détresse de ces rires, il partit vers l’endroit d’où ils émannaient, une petite grotte sur la base de la roche.

**

Entrant lentement dans l’antre humouristique, Mirweys ne vit rien, aucune torche n’éclairaient l’entrée. Pénétrant toujours plus à l’intérieur, il perdit rapidement le sens de la vue dans cette ombre, guidait uniquement par le son de la femme en détresse dont les appels à l’aide s’agrémentaient de nouvelles variétés tel que “Grâce!”, visiblement cette fille avait de la répartie... mais pour l’instant il devait la retrouver.
Repérant finalement une zone éclairé aprés un virage et, prenant soin de se cacher au bord de la paroie pour ne pas être vue, il sortit la tête en direction de l’endroit éclairé pour comprendre finalement d’où provenaient ces rires ambigues et surtout, leur cause.
Une femme patiquement complétement dénudée était ligotée sur une chaise, ses pieds de même sur un escabeau étaient nus et se faisaient lécher par une chêvre. Derriére elle trois hommes habillés de vert discutaient entre eux. La torture qui était imposée à la femme en question semblait avoir le pire des effets sur cette pauvre personne, elle se débattait, elle riait, se congestionnait, remuait ses pieds de droites à gauches dans des mouvements de fuites désespérées, c’était à la fois burlesque, quand à penser aux véritable tortures qui étaient autrement plus horribles, et à la fois terrible sachant que cette fille semblait véritablement chatouilleuse et qu’elle ne risquait pas d’en mourir.

S’asseyant contre la paroie, Mirweys tenta d’élaborer une stratégie pour la délivrer du joung de ces bourreau, mais il avait du mal à réfléchir avec les hurlements de la belle qui ne cesser de passer dans ses oreilles, du moins, c’est ce qu’il se convainquait de penser sachant que la derniére année passé il n’avait pas tellement eu à réfléchir.
“Eh oh! Ca va ein?” Me dit-il, aprés quoi je lui demanderais de se calmer, étant le narrateur de cette histoire je dis ce qu’il me plait à dire et ce serait bien que tu évites de me parler de nouveau on risques de perdre toutes crédibilité!
Toujours cherchant sac ombine afin de devenir l’héros de la chatouillée, il refis passer sa tête pour revoir à nouveau comment se répartissait la salle dans laquelle elle se trouvait quand soudain il fixa le visage de la supliciait, pas de doute la-dessus, c’était elle!
Il se souvint alors de RadicalEdg69, alors qu’il y avait déjà repensait sur le chemin du retour il avait presque oublié son visage mais voici qu’il réapparraissait et c’était indéniable, c’était elle. Dieu seul savait ce qu’elle pouvait bien faire dans une pareille posture, attachée en prise avec une chêvre aux mains de trois personnes passibles d’être des pinpins aux vue de leur goût vestimentaire, mais une chose était sûr, il se devait de la sauver, aprés quoi, il pourrait peut-être envisager un plan de drague dont la résultante m’es déjà connu mais que je préfére taire afin de vous laisser saliver sur ce suspense.

Prenant son courage à deux mains, et dont l’étiques et la charte humouristique me force à ne pas dire “Et à deux pieds”, il fonça vers les trois pinpins toujours en train de parler de la pluie et du beau temps.
Lançant un éclaire foudroyant, il transforma en poulet rotie deux des bourreaux alors que le troisiéme lança un sort de bouclier noir, Mirweys s’attendait à tout mais surement pas à un pinpin maitrisant le noir...
Le bouclier du pinpin entourait, à la maniére d’une sphére, RadicalEdg69, lui et la chêvre, il était impénétrable mais le sauveur ne s’en faisait pas, une fois le mana évaporé, sa protection s’effondrerait.
“Je ne sais pas qui tu es étranger mais tu as tord de me sous-estimer, je ne suis pas un simple pinpin comme tout te porte à le croire...”
“Personnelement j’en ai complêtement rien à foutre de qui tu es! Répondit Mirweys, aprés quoi celui-ci se rendit compte que son annonce n’avait pas l’allure adéquate afin d’être insérée dans un texte d’héroïque fantasy et il se reprit : “Selon mon propre chief je n’en ai point à faire de la cathégorie d’humanoide à laquelle vous appartenez!”
“Bien! Je supose dans ce cas qu’il me sera difficile d’observer plus longtemps la possibilité de faire changer d’avis cette charmante lady par cette torture des zygomatique, mais avant de partir, il me reste une derniére action à faire.”
Tuant la chêvre d’une vision terrifiante faisant vasciller son coeur en un instant, le pinpin sortit de sa poche un pinceau noir et, attrapant les orteils des deux pieds de RadicalEdg69 toujours immobilisées, il se mit à dessiner rapidement des motifs sur ses pieds, occasionnant toujours ce qu’elle avait dû subir jusqu’alors et qui la poussa à lancer de nouveau des rires hystérique contre les paroies de la grotte. Ayant finit son oeuvre, l’artiste se releva et s’adressa à la torturée qui le regardait, le visage baigné de larme au bord de l’évanouissement.
“Désormais tes pieds ne connaitront plus le repos! Tous contacts de ta plante avec une quelconque surface te donnera l’effet d’un coup de langue de chêvre, tu te rapella jusqu’à ta mort de ces deux jours à hurler dans cette cave, de plus, à chaque coups que tu essuira sur une quelconque partie de ton corps te transformera instentanément en écureuil encapable de lancer le moindre sort pour le reste de la journée!” Puis, se retournant vers le pseudo-sauveur cloitré derriére le bouclier, “Nous nous reverrons, en attendant, prends soin d’elle!” Il lui esquissa un clin d’oeil.
“Non mais attends voir espéces de...” Mirweys ne put achever sa phrase, claquant du doigt le pinpin s’évapora dans une téléportation, décidément, cet être nuisible et goujat de surcroît était vraiment étrange, il maitrisait des sorts noirs et bleus.
“Par pitié... commença RadicalEdg69 dans un demi sommeil, détachez-moi...”
“Euh... tout de suite RadicalEdg69!” Attrapant les sangles qui retenait la zone torturée de son anatomie, il les détacha puis utilisa un léger mana dans son sort d’éclair afin de bruler une part de la corde, libérant la jeune femme toujours dans des vapeurs comâteuse. La prenant dans ses bras, il l’emmena dehors où il la pausa sur le sol d’herbe fraîche alors que le crépuscule commençait à tomber.

***

Cherchant dans ses poches, il ressortit une carte qu’il avait confectionné durant sa vie d’hermite, une de ses rare cartes blanches qu’il avait confectionné. Alors qu’elle commençait à s’enfoncer dans un sommeil profond, il déchira cette carte en y ajoutant un peu de mana blanc, faisant apparaitre un esprit lumineux dont le nom comme l’invocation étant entiérement de la création de Mirweys, l’esprit de lumiére et des bienfait curratif : Elanore. En quelques secondes Elanore prodigua une lueur chaude sur le corps de la petite endormie puis s’évapora.
Recevant les bienfaits de cette magie, elle ouvrit lentement les yeux, recouvrant sa vigueur, et, voyant Mirweys, la tenant dans ses bras, oublia ses trois derniers jours et fit un bon sur le coté, retombant sur son postérieur.
“Mais qui êtes-vous?” Dit-t’elle d’un ton appeuré et étonné
“Je suis Mirweys, je viens de vous sauver de trois pinpins qui vous torturaient, vous ne vous souvenez pas?”
“Non! Pas du tout! Mais!...” Sentant la fraicheur du vent sur sa peau nue, elle se rendie compte de l’absence autre au ceux cachant ses parties les plus intimes, “Mais où sont mes vêtements?”
“Bonne question, je n’en ai pas la moindre idée, ils ont du vous les enlever.”
“Qui «Ils»? Bon sang je ne comprend rien de ce que vous dites! Je retourne au Centre chercher de l’ai...”
Posant un pied à terre, elle ressentit milles langues rapeuse s’acharner sous son pieds et , prise de fou rire, elle s’affala sur le sol se tenant le pied comme pour l’empécher de se retrouver à nouveau léché. C’est ainsi que tous lui revint, son enlévement, son statut de régulateur retirée, les pinpins et la torture de la chêvre et, surtout, l’arrivé héroïc de l’homme dans les bras duquel elle se trouvait en se réveillant.
“Veuillez m’excuser pour ce que je vous ai dit il y a quelques minutes, je ne me souvenait plus de ce que j’avait enduré et de votre démarche triomphale pour me sauver, je ne sais comment me faire pardonner...”
“Tu es tout excusé RadicalEdg69!”
“Vous... vous me connaissez?”
“Oui, c’était il y a longtemps, j’était un ami de Mimura, et je sais que vous sortiez avec lui.”
Une fois de plus, les souvenirs lointain de Mimura lui tirérent une larme de l’oeil, comme quoi c’était déjà mal partit pour Mirweys...
“Je vous remennes au Centre? Repris-t’il afin de lui faire oublier son chagrin et de s’ouvrir la voie, je pense que restait ici avec les vêtement que vous portez vous risquez d’avoir froid!”
“Je veux bien mais j’ai l’impression que quelque chose ne tourne pas rond sous mes pieds...”
“Laissez-moi voir”
“Euh... d’accord mais ne touchez pas la plante par pitié!”
Attrapant un des pieds de RadicalEdg69 par la cheville, il remarqua un étrange dessin sur sa plante, surement celui qu’avait fait le pinpin avant de partir. “Escuzes-moi si tu le permet” dit-il en attrapant le second pied, il les plaqua l’un contre l’autre et remarqua que les deux dessins concordaient, formant un dessin unique d’un écureuil passiblement proche de celui de la caisse des pargnes, une banque du Centre dirigé par des pargnes, humanoïdes venue d’un plan éloigné dont la description serait futile et peu interressante. Mais ce dessin était surtout assez mignon et même un peu rigolo, il ne put s’empécher de sourire voyant cela alors que la possesseuse de ces fresques commençait à fatiguer, ce qu’elle fit remarquer à mirweys qui lui reposa ses jambes au sol.
“Que fait-on? Demanda-t’elle d’un air inquiet, je n’ai pas envie d’endurer ce suplice pour chaque pas que je ferait jusqu’au Centre...”
“Je vais te porter RadicalEdg69, j’ai une carte de force qui dure une journée, le Centre est à quelques heures d’ici, on y sera sous peu...”
“D’accord mais désormais, j’aimerais que tu cesse de m’appeler ainsi, RadicalEdg69 est morte dans cette grotte! Désormais je suis Edounette, je veux tirer un trait sur mon passé, je ne serait plus la femme haineuse que j’était et qui m’a entreiné dans cette salle de torture!”
“Et tirer un trait sur Mimura?”
“Pardon?”
“Euh... non rien!”
Faisant un grand geste de sa main vers le ciel, elle lança un sort blanc de métamorphose qui retomba et se déposa sur elle, en quelques instant sa peau devint plus rose qu’elle ne l’aurait jamais pû être, ses cheveux noir tel les tênêbres devinrent blanc comme neige et ses yeux scintillérent d’un bleu azur magnifique, elle venait de commencer sa nouvelle vie. Mirweys déglutit en voyant une telle merveille, puis, toujours plus déterminé, sortit la carte de force en question et la déchira avec le mana vert qu’il fallait afin de se fournir un surcroit de muscle.
Puis, il attrapa Edounette sous le dos et sous les jambes et partie vers le Centre sous l’apparition des étoiles d’une nuit qui n’aurait jamais pût être plus douce...

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Pour Délirium :
C'est à voir avec Franck

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Dead

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Envoyé par Dead le Vendredi 19 Août 2005 à 08:24


Lol tu sais Dead sans vouloir faire de l'élitisme ou de favoritisme ton apparition dans le premier cycle réléve surtout du miracle, si tu n'était pas arrivé pendant la consception des capa en me proposant ta carte par mp elle ne serait jamais apparu
Maintenant elle y est et j'ai d'ailleur dans l'idée de la remasteriser en Unco dans le second cycle puis en rare dans le troisiéme, toujours avec un rapport de choix de chiffres.

Concernant la storyline, j'ai peut-être une idée, tu apparaitrait simplement de temps en temps ainsi :

Dead passa, " *Une connerie en rapport avec l'action se déroulant* ", Dead partie.


^^' c'est quoi élisitsme ??? Enfin bref, en quelques sortes je serai une sorte de sorcier qui évolu ( commune, unco, rare ) ? Pis sinon ben sa me va le Dead passa ----> etc....

EDIT : "Dead passa , “Un tel paysage! Ca chatouille les sens!” Dead repartit" ---> MdR ^^'

EDIT2 : ... ( censored )

EDIT3 : mieux vaut supprimer ce que j'ai écrit.
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[ Edité par Dead Le 19 aoû 2005 ]

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Envoyé par Mimura le Vendredi 19 Août 2005 à 14:05


Le 19/08/2005, Dead avait écrit ...


EDIT2 : ... ( censored )

EDIT3 : mieux vaut supprimer ce que j'ai écrit.

Tu avait écrit quoi?

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Envoyé par Dead le Vendredi 19 Août 2005 à 16:31


Enfait, je me posais la question, comment se fait-il que tout d'un coup surgissant de nulle part un nom ( dead en l'occurence ) surgissent comme ça, et personne se questionne qui était-ce ?

Enfin bref la phrase me conçernant et mal placé, mieux vaut l'enlever pour donner de la qualité à ton travail.

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Envoyé par Mimura le Vendredi 19 Août 2005 à 16:45


Ba de toutes façon c'est la base, tu passe, tu dis un truc, tu parts, et puis c'est faux, Mirweys c'est retournée pour savoir d'où venait cette phrase que tu avait dires juste aprés que tu soit partie, mais ne vit personne.

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Envoyé par Mimura le Vendredi 19 Août 2005 à 19:24


Allez! on est fou ou on l'est pas!

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Chapitre 7 : épopée à bout de bras

Marchant toujours en direction du Centre dont les lumiéres omniprésentes se faisaient de plus en plus opaques, les bras chargées d’une superbe créatures à demi nue, Mirweys se dit qu’il n’aurait jamais pû rêver mieux comme introduction pour ce chapitre. Profitant de chaque seconde de marche pour remuer légérement un doigt ou l’autre afin de caresser la peau douce de sa protégée, il imaginait déjà l’ydille qu’ils vivraient ensemble dés qu’elle aurait oublié Mimura, rêve que mon humanité m’oblige à ne pas stopper en lui racontant à l’avance le résumée de l’histoire à venir.
Trouvant le temps long, Edounette engagea la conversation avec son porteur.
“Tu habites toujours le Centre?”
“A dire vrai non, depuis l’attaque des mutins je suis partie vivre en hermitesur la montagne.”
“Ah... c’est donc ça l’odeur...”
“Comment?”
“Rien, rien!”
“Mais je me suis dit qu’il était temps que je retourne au Centre et que je mette à jour leur sordide organisation, c’est d’ailleurs une chance pour toi que je ne l’ai pas décidé quelques jours plus tôt, sinon tu y serais encore et pour un moment...”
Elle frissona, rapprochant ses mains de son visage pour créer une barriére invisible avec le monde extérieur, fermant les yeux et protégeant le dessous de son pieds droit avec le gauche, Mirweys trouva cette image fort mignonne.
“Reste à savoir, repris-t’il, comment nous allons nous organiser pour mettre un therme à l’engeance des mutins...”
“J’ai peur que ce soit plus compliqué que cela... avant de me torturer, les pinpins ont fait la chose idiote que font tous les aggresseurs à leur victime désarmées, ils m’ont racontés leur plan.”
“Ah... et donc?”
“Il semblerait que les péjoriens organisent une véritable révolution, autrement plus importante que celle des mutins, ils ont dans l’idée d’attaquer le Centre de front et d’en prendre le contrôle.”
“Ce serait du suicide, avec tous les différents artistes que nous avons nous n’aurons aucune problême à les contenirs.”
“C’est bien ça le problême, ils ont, vraisemblablement, beaucoup d’espion dans le Centre, des eccins, des ashaens et même des régulateurs, comme le prouve le pinpin qui m’as barbouillé les pieds, il utilisait des sort noir et bleu, magie que ne maitrise pratiquement que les régulateurs du Centre, du moins, de cette façon là en tout cas...”
“Certes... mais ce n’est pas pour autant qu’ils peuvent remporter la victoire, ce n’est pas quelques espions qui vont faire pencher la balance en leur faveur.”
“Justement, il y a plus grave, l’ensemble de la communauté mutine est de mêche avec eux, le moment venue, tous les mutins se rebelleront contre le Centre et, bien qu’ils ne soient pas trés malin dans l’ensemble, leur nombre fait leur force!”
“Effectivement vu comme ça il y a un énorme problême... peut-être faudrait-il en parler à Davi...”
Il ne put achever sa phrase, entendant les début de syllabes de ce nom, elle s’arracha de ses bras dans un élan nerveux et s’étalla sur le sol.
“Surtout pas! Pas lui! Je ne veux plus rien avoir à faire avec lui!”
“Bon, de toutes façon nous verrons une fois là-bas, dis-t’il en la reprenant dans ses bras, ce n’est pas les aides qui manque.”
“Le problême c’est qu’en demandant de l’aide e cette maniére, les espions risque de s’en apercevoir, et de lancer une offensive prématuré, il faudra qu’on trouve simplement quelques personnes de confiances et qu’on face en sorte de mener la contre-offensive contre les péjoriens dans l’ombre, maintenant, à savoir comment...”

*

A force de discution et de regard scruteur de beauté de la part de Mirweys, les portes du Centre vinrent à se placer devant eux, de l’autre coté, la grande ville qu’ils attendaient.
“Qui va-là?” leur cria un garde du haut de sa tourelle de même fonction en voyantle couple proche de la porte, sa hauteur était tellement élevé que Mirweys eu du mal à comprendre les trois mots qu’il venait de prononcer et l’interpréta par “Du chocolat?”
“Non! Ca va merci! Lui répondit-il, on veut juste rentrer!”
Interloqué par cette réponse plus qu’incongru, le garde se repencha à nouveau de son minaret et renouvella sa question.
“Je vous demande juste qui va la!”
Cette fois-ci Mirweys ne chercha même pas à comprendre, il répondit directement à la phrase qu’il venait de comprendre en tans que “Je mout des mangues jusqu’à là”.
“Je me contre fiche de vos activités douteuses, ouvrez cette porte!”
Prês à relancer pour la troisiéme fois sa question, le garde se dit qu’en fin de compte il s’en moquait bien de qui pouvait rentrer au sortir du moment que ce n’était pas rouge, et là c’était blanc du peut qu’il voyait. Commendant aux responsables de la porte de l’ouvrir, il hurla à l’entrant : “Bienvenue au Centre!” dont la simple réponse de Mirweys : “Epargnez-moi les détails de votre vie sexuelle!” le poussa à aller se coucher.

Entrant dans le Centre, il était tel qu’ils l’avaient tout deux quitté. Toujours aussi bruyant, peuplé et lumineux, offrant les divers magasins et restaurant à tous touristes ou citadins possésseurs de quelques écus.
“Et maintenant?” demanda Mirweys à la petite femme trainant dans ses bras.
“Et bien... je suppose que le mieux est d’aller chez moi chercher mes cartes et mon argent ainsi que quelques vêtements, aprés quoi nous verront bien...”
“Je te conseille de replier tes jambes désormais, car vue la foule amassée dans les rues tes toucheront forcément quelque chose et je n’ai pas envie de supporter tes rires hystériques jusqu’à chez toi...”
“Comme si j’y était pour quoi que ce soit...”
Dead passa, “Se frayer un chemin parmis ces gens c’est sensible.”, Dead partit.
Ecoutant les conseils sages bien que brusque de Mirweys, Edounette replia les jambes tandis que ce dernier se frayait un chemin dans l’opaque couche de chairs entremellées que représentait cette foule dense.
“Je te laisse me guidait. Lui dit-il, car e n’ai pas la moindre idée d’où peut bien se trouver ton logis...”
“Ce n’est pas difficile, la troisiéme à gauche, la quatriéme à droite, la huitiéme à droite, la trentuitiéme à gauche et c’est au fond...”
“Euh... je pense qu’il est préférable que tu me le dise au moment sans quoi y’a de forte chance que je rate la rue.”

Marchant toujours dans les allées et les rues, la foules commença à se dissiper quand ils parvinrent au quartier V.I.P, lieu de prédilection des régulateurs en mal de repos interdit de séjour à tous pinpins. Il ne s’y était jamais trouvé un quelqu’onque magasin ou restaurant, c’était une place uniquement réservés aux habitations.
“On arrive? Demanda Mirweys les yeux à moitié fermés, des cernes sous les yeux, je commence à fatiguer moi...”
“Je croyais que tu t’étais mis un sort de force...”
“Oui mais il est six heures du matin je commence à avoir sommeil...”
“Ne t’en fait, c’est la maison juste là...” Désignant une grande maison à caractére gothique proche d’une forêt de sapin, Mirweys s’en approcha jusqu’à ce que la propriétaire de la batisse se rendre compte qu’elle ne l’était plus...
“Quoi?” Hurla-t’elle à l’entente de mes mots. C’était la vérité, la porte verrouillée par un énorme cadenas contenait un grand écritaux indiquant :
“A VENDRE, RESIDENCE DE FEUT RADICALEDG69 ET L’ENSEMBLE DE SES BIENS, REGULATEUR ET ELITE ASHAEN UNIQUEMENT, PINPIN S’ABSTENIR, TOUT RENSEIGNEMENT CONTACTEZ DAVID PAR MESSAGE PRIVE OU SUR LE FORUM DE VENTE/ACHAT LE MARDI ET JEUDI DE 14 A 18 HEURE.”
“Qu’est ce que ça veut dire «feut»? Demanda Mirqeys interrogatif, tu brules?”
“Mais non imbécile... ça veut dire que je suis morte...”
Le visage blême d’un unique coup, Mirweys regarda avec peur Edounette et la lacha faisant un bond en arriére, la laissant tomber sur les fesses qu’il admirait il y avait encore à peine une minute.
“Mais qu’est ce qui te prend?” lui cria-t’elle complêtement décontenancée par sa réaction.
“Si tu es morte ça veut dire que tu es un fantôme... et moi je n’ai pas l’intention de traiter quoi que ce soit avec un spectre!”
“Mais non idiot! Quand j’ai dit ça cela voulait dire qu’ils me conscidéraient comme morte! Mais tu vois bien que je ne le suis pas non? Alors reprends-moi immédiatement!”
Retrouvant son calme, Mirweys se permit de lui dire une phrase contenant un jeux de mot dérisoire et accés péjorien du cinquiéme dessus dont l’humour ne convient pas à un texte pour tout public mais dont les quelques personnes matures le lisant comprendront de quoi je parle en disant que ce dernier tournait autour du verbe “prendre”.
“Prends-moi dans tes bras et cesses tes allusions de mutin!” Car c’était vrai, une autre particularité de la classe mutin était les jeux de mots orientés “acte amoureux” car facile à sortir avec lesquels ils se voilaient à penser que cela attirait les demoiselles sans se rendre véritablement compte que tous ce qu’ils arrivaient à faire par de tels propos était de s’enfoncer toujours plus, et pour un simple exemple ils auraient, eux-même, fait un calembour avec l’expression juste au-dessus.

Il l’attrapa de nouveau et la souleva, la tête toujours dans le coussin moelleux qu’il aspirait à retrouver depuis qu’il était devenu ermite et qui constituait son idéal.
“Que fait-on?” Le questionna-t’il en éspérant deux réponses, l’une concernant le sommeil qui tenter de le prendre de force et l’autre se retrouvant censurée.
“As-tu de quoi faire une carte sur toi?”
“Et bien... il me semble qu’il me reste un parchemin et une plume...”
Elle frissona derechef, “... pour écrire évidemment!”
“Poses moi à terre et donnes-moi tout ça!”
Obéissant à la beauté que représentait Edounette, il la dépossa tel une fleur fragile sur le sol puis sortit de son costume odorant une carte légérement froissée et une plume avec un petit pot d’encre de kamigawa refermée. Elle se mit à réaliser une fresque sur la carte, faisant de grand geste elle dessinait à vive allure une véritable oeuvre d’art. Mirweys était véritablement émerveillé, il n’avait jamais vu la grande régulatrice au travail, c’était proprement magique, expression à prendre autant dans le sens littérale que imagé.
Une fois finit, elle leva la carte au-dessus d’elle, écoula du mana blanc en son centre et, dans une bruoasque impréssionnante bien que silencieuse, cela commença à former une forme humain au-dessus d’eux. Cette forme se précisa de plus en plus jusqu’à ce que le sort atteigne son paroxysme, révélant radicalement la forme qui n’était autre qu’un petit ange femelle, le plus mignon de tous les anges qu’on ai jamais pu obesrver. Mirweys était complêtement estomaquer de voir une telle chose se proudire sous ses yeux, il n’avait jamais était mauvais en catographie, mais le niveau de cette ancienne régulatrice était autrement plus impressionant, en quelques minutes elle avait réaliser avec pratiquement rien une carte capable pour quelque mana blanc et sans destruction du support de créer un ange visiblement utilisable pour la guerre mais particuliérement belle en plus de ça, Mirweys en venait presque à préférer l’ange à sa créatrice. Mais celui-ci disparu immédiatement sous une désinvocation de la cartographe.
“Je pense que cela devrait suffire à nous donner une rente pour qu’on s’achête des vêtements et de quoi faire de nouvelles cartes pour nous aider dans notre futur quête.”
“Pourquoi devrais-je m’acheter des vêtement aussi? Il est trés bien celui que je porte!”
“Tu plaisantes? Allez! Reprends-moi dans tes bras, on va déposer cette carte au Centre et nous allons dormir, et tu ne rajoutes rien de plus s‘il te plait!”
Bien qu’il eût, effectivement, l’envie de demander à la petite créatrice si elle voulait dormir avec lui, il se retint pensant qu’il s’était déjà mis un handicap suffisemment lourd dans sa quête principal qui était celle de plaire à la belle.

**

Aprés avoir déposé à la proposition la carte d’Edounette au Centre de cartographie, ils allérent dans le premier hôtel venue où Mirweys écoula ses derniers sous à payer la chambre, à deux lits évidemment.
La nuit se passa sans emcombre, Edounette évacua toute la haine qui lui restait dans ses rêves, elle revisualisa, dans ses songes, sa torture par la chêvre mais, dans ce rêve, son bourreau était David, elle se trouvait au centre même du Colisée et l’ensemble des régulateurs et des mutins applaudissaient en la regardant hurler de rire. Elle se réveilla en sursaut à plusieurs reprises mais, à chaque fois, elle sentait qu’une partit de sa rancoeur s’évanouissait. Quand à Mirweys, inutile de décrire les rêves que son subconscient lui offrit, tout le monde aura certainement compris leur nature.
Au levé, il dut faire un dernier effort pour apporter Edounette dasn ses bras jusqu’au Centre de cartographie, son précédent sort de musculature n’étant plus, il avait immédiatement bien plus de mal à lui prouver sa force.
Comme prévue, la carte avait été accepté et comportée déjà plusieurs offres dont une particuliérement interressante d’une somme de cent mille écus de la part d’un certains Zargost. Sautant sur l’occasion, ils accéptérent sa demande d’achat et le rencontrérent l’heure suivante devant le Centre. C’était un ashaen plutôt jeune mais inspirant la confiance et la sympatie, il n’hésita pas à prendre l’initiative de la conversation, il n’était visiblement pas depuis assez longtemps au Centre pour reconnaitre Mirweys, quand à Eounette, il n risquait pas le reconnaitre par sa nouvelle apparence de fraîcheur.
“Bien le bonjour gente dame et gentilhomme, je me nomme Zargost et je suis votre acheteur.”
“Abréges!” Lui dit Mirweys qui commeçait véritablement à avoir mal aux bras de tenir la vendeuse.
“Trés bien! Repris Edounette, nous acceptons votre offre! Cent-mille écus contre la carte!”
“Vraiment? Demanda l’ashaen visiblement fort étonné de la réaction d’Edounette, vous savez je n’aimerait pas vous faire faux bond, votre carte vaut bien plus que cent-mille, je proposais cent-mille en premier lieu mais je m’attendait à ce que vous montiez les enchére où que vous attendiez qu’un autre acheteur vous en demande plus pour que j’augmentes moi-même.”
“C’est inutile. Cent-mille est plus qu’il m’en faut et comme ça vous n’aurez pas perdu votre journée de par cette bonne affaire, donnez moi l’argent et moi je vous donnes le titre!”
“Puisque vous insistez, voici l’argent escompté.”
Il lui tendit une bourse d’écu, il en avait visiblement d’autre sur lui, il ne mentait pas, il s’attendait à ce qu’on lui demande de payer plus. En contrepartie, Edounette lui donna le titre de propriété de la carte. Avec ce titre, il pourrait retirer la carte qu’il venait d’acheter au Centre et en faire ce qu’il voulait.

Le reste de la journée fut établie dans un magasin de vêtement trés prisé du Centre à se trouver de nouveaux habits. Comme de bien entendu, Edounette ne put échapper à la tentation de s’acheter une superbe aube blanche resplendissante faisant resortire sa grande beauté originelle que Mirweys ne pouvait refuter, d’autant qu’avec la fatigue qu’il accumulait depuis un long moment déjà, il n’aurait rien pus refuter, accepter, ou même dire quoi que ce soit. Une fois Edounette comblée, ce fut son tour de modifier sa garde robe, ce ne fut pas triste. Sous les yeux de celle qui l’accompagnait depuis une journée, assise sur un fauteuil, il essaya un grand nombre de divers tissus aux coloris divers, tantôt trop habillés, tantôt trop ridicule, parfois radicalement burlesque, elle ne put s’empécher de s’esclaffer à plusieurs reprises jusqu’à ce que; finalement, il trouve son bonheur, un ensemble aux coloris mi-rouge, mi-noir en habile imitation de cuir plutôt cintré et comportant une cape noir vers l’éxtérieur, rouge vers l’intérieur. Bien qu’Edounette trouve le coup de la cape un peu trop osé, elle préféra se taire afin qu’il ne lui sorte pas que c’était pour qu’il soit son super héros.
“Tu sais Edounette, commença Mirweys, la cape c’est pour que je sois ton s...”
“Bon! Vendeur! Emmennez la note! On est pressé!”
“Où doit-on aller ensuite?”
“Dans un magasin de cartes vestimentaires, je doit trouver de quoi me constituer deux chaussures magiques qui ne me donnent pas le contact.”

***

Mirweys put enfin ressortir du magasin de cartes vestimentaires les mains libres, ses bras légers comme deux plume... Edounette frissona. Enfin... je veux dire... comme deux feuilles.
Elle venait d’acheter deux cartes de chaussures à talons incolore et intouchable. Ces cartes avaient été directement tatouées sur chacune de ses cheville, il sufisait qu’elle écoule un mana incolore dans chacune d’elle pour que ses pieds garde une distance de quelques centimétres du sol, le talon relevé à la maniére d’une chaussure à talon véritable mais sans la chaussure... Elle pouvait désormais marcher normalement et, avec son aube tomba bien bas, la nudité de ses pieds n’était désormais connu que de Mirweys.
“Et maintenant?” Demanda Mirweys qui, dans cette sortie holywoudienne, avait oublié qu’une fois le but de redonner la possibilité de marcher à Edounette, ils n’avaient rien prévue de concrét.
“Et maintenant... commença-t’elle, et maintenant on cherche des personnes de confiance puor nous suivres dans notre quête!”
“Et bien on est pas au bout de nos peine... Tu as au moins un plan d’action?”
“Marchons on verra bien!”

Et, elle, comme toujours, trés sûre d’elle, lui, comme toujours, moins, partire sous le soleil couchant en direction de la premiére place venue afin de rencontrer âmes charitables passibles de les suivres dans leur quête. Par chance, pour eux, le narrateur est là pour ça...

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Pedro7569

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Envoyé par Pedro7569 le Mercredi 24 Août 2005 à 12:12


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