Salut snip77
Penses à mettre tout les liens vers les cartes dont tu parles la prochaine fois que tu viendras poser une question parce que ceux qui vont lire ton post et y répondre ne sont pas sensés connaître toutes les cartes.
Tu trouveras la méthode
ici.
Pour répondre à ta question, revenons sur la situation :
Tu joues un
blocage cérébral avec un déluge qui s'est déclenché disons 5000 fois (la notion d'infinité n'existe pas à magic ; si une combo ou une carte te permet d'effectuer théoriquement une action une infinité de fois, tu es obligé de donner un nombre précis de fois où tu vas répéter cette action, quel que soit le nombre que tu choisis).
Tu mets donc en pile le blocage lui-même puis 5000 copies de ce blocage.
On résout les copies une par une.
Si un moment une des copies met la
bénédiction selon Gaïa dans le cimetière de ton adversaire, la capacité de cette dernière va se déclencher.
Une fois que la copie du blocage (ou le blocage lui-même) a fini de se résoudre, la capacité de la bénédiction va sur la pile au dessus des prochains exemplaires du blocage.
Lorsque l'on résoudra cette capacité, ton adversaire remélangera son cimetière à sa bibliothèque, y compris la bénédiction elle-même bien sûr.
On reprend la résolution une par une des blocages jusqu'à ce que on retombe sur la bénédiction ce qui fait que le processus recommence jusqu'à ce que tous les exemplaires du blocage se soient résolus.
Il n'y a donc aucune chance de meuler ton adversaire ainsi. Il lui restera toujours un certains nombres de cartes dans sa bibliothèque.
Pour avoir une chance d'en finir, tu peux par exemple essayer de contrecarrer la capacité déclenchée de la bénédiction avec un contre spécifique (comme
trompentrave) ou tenter de retirer de la partie la bénédiction entre le moment où elle est mise dans le cimetière de ton adversaire et celui où sa capacité se résout, avec une
extirpation par exemple...
En espérant avoir été clair.
a++
[ Dernière modification par imagine le 23 jui 2007 à 15h34 ]
imagine all the people... Je ne suis pas raciste mais il faut bien voir les choses en face : les enfants ne sont pas des gens comme nous