Fantôme Paranormal

" Je ne crois pas aux fantômes, mais j'en ai peur "
Je ne sais plus qui a dit ça mais elle existe réellement cette citation.

C'est moi qui ai dis ca en gros mais je ne connaissais pas la citation.

SUjet ininteressant. A part cette citation. pas mal cette citation ! Du même genre que : "l'homosexualité n'est pas une maladie, mais personne n'aimerait l'attrapper."

Il me semble en fait que la vraie citation provient d'usual suspect et dis :
"Je ne crois pas en Dieu, mais j'avoue qu'il me fait peur"


Comment cela se fait que les apparitions, soient toujours des femmes en blanc ? Les hommes n'auraient pas de fantôme ?

Hey Tepes, les mecs après l'heure dernière, ils peuplent l'enfer et jouent au foot ou a la guerre, a celui qui pisse le plus loin (références tordues dsl)

fantooome

fo voir ca pour vraiment savoir.

jai jamais vecu ca donc jy crois paas trop...
fo vvivre ca pour vraiment y croire.

Je suis d'accord avec Shizu là
Mais je crois pas à ces apparitions ... moi , j'en ai jamais vu (toujours d'ac avec Shizu , tant que j'ai pas vu , je crois pas)... Moi j'ai juste entendu , et j'ai déjà du mal à m'expliquer ce que ça pourrait etre !
Alors , le moins j'y touche , le mieux je me porte !
Au fait , c'est koi ton truc "zarbi" Shizu ?

en ce qui me concerne, voila une petite histoire pas très longue.
c un temoignage (vrai ou pas?)

"Jour de juillet dans la colonie dde vacances. Nous partirons dans quelques jours...
Cela dit, des amis veulent tenter "dappeler" des esprits avec une méthode classique (on se tient la main avec un verre au centre dune table :esprit es tu la etc etc).
On commence.
Le verre bougea......
Bon après ces émotions assez "enfantines" nous allons faire un scrabble...
Pan! les lumieres séteignent. Nous allons vers la porte mais celle ci claque...les rideaux se souleve un brun bien qu'il n'yait pas de vent...et on entend un bruit: le bruit des lettres du scrablle qui tombe.
La lumiere revient a cet instant. Nous allons voir le scrabble et nous entre toutes les lettres certaines former un mot: Aide."

voila c tout

bouarf bande de noob!! je ve des preuves!! des faits!! des vérités!!! vive St Thomas!!! 99% des phénomène paranormaux sont expliké dès qu'ils sont éxaminé de plus près par des scientifique un tant soit peu sérieux, et surtout honète!! paske mine de rien, sa fé de la pub qd on "découvre" des faits étranges....au passage, sa vous semble pas bizarre ke vôtre dame blanche soit un peu partout à la fois!!?????

Darkred>
Et quand viendra l'heure dernière
L'enfer s'ra peuplé de crétins
Jouant au foot ou a la guerre
A celui qui pisse le plus loin

C'est dans le dernier couplet de Miss Maggie de Renaud...

Oh les beaux petits amateurs que je vois ! Déjà la citation n'est pas d'Usual Suspect mais elle date... c'est d'une contesse !

Ensuite, je vois que ezay ne cherche pas plus loin que son nez : Dommage.

Pour les fantômes, je suis indécis mais pour les esprits, j'y crois.

Et si un jour vous appellez un esprit avec une planche et un verre, il faut toujours être à deux pour tenir le verre sinon on peut être (ou plutôt on se fait ) possédé. Cf. L'exorciste (on est pas possédé à ce point mais c'est un avant goût pour dire que faut pas rire avec ça).

Une copine ou cousine de ma mère l'a été pendant 6 mois. Elle était malade comme une folle sans savoir ce qu'elle avait et ça s'est calmé d'un seul coup.
Quand à ma mère, elle s'est faite envouter par quelqu'un qui l'aimait pas et elle a une une pareille maladie.

Voila donc une autre histoire beaucoup plus longue (paske racontee dans un livre je dois tout recopier)
Je vous pris de la lire que je me sois pas fait chier a recopier 6 pages...

Vision de Charles XI

There are more things in heav'n earth, Horatio,
Than are dreamt of in your philosophy.
SHAKESPEARE, Hamlet

On se moque des visions et des apparitions surnaturelles; quelques-une cependant, sont si bien attestées, que, si l'on refusait d'y croire, on serait obligé, pour être conséquent, de rejeter en masse tous les témoignages historiques.
Un procès verbal en bonne forme, revêtu des signature de quatre témoins dignes de foi, voilà ce qui garantit l'authenticité du fait que je vais vous raconter. J'ajouterai que la prédiction contenue dans ce procès verbal était connue et citée bien longtemps avant que les événements arrivés de nos jours aient paru l'accomplir.

Charles XI, père du fameux Charles XII, était un des monarques les plus depostiques, mais un des plus sages qu'ait eus la Suède. [...]
Il venait de perdre sa femme Ulrique Eleonore. Quoique sa dureté pour ccette princesse eût, dit-on, hâté sa fin, il l'estimait, et parut pluq touché de sa mort qu'on ne l'aurait attendu d'un coeur aussi sec ke le sien. [...]
A la fin d'une soirée d'automne il était assis en robe de chambre et en pantoufles devant un grand feu allumé dans son cabinet au palais de Stockholm. Il avait auprès de lui son chambellan, le comte Brahé, qu'il honorait de ses bonnes grâces, et le médecin Baumgarten, qui, soit dit en passant, tranchait de l'esprit fort, et voulait que l'on doutât de tout, excepté de la médecine.[...]
La tête baissée et les yeux fixés sur les tisons, le roi gardait un profond silence, ennuyé de sa compagnie, mais craignant, sans savoir pourquoi, de rester seul. [...]
Alors on essaya différents sujets de conversation qui s'épuisaient tous à la 2eme ou 3eme phrase. [...]
Le palais où résident aujourd'hui les rois de Suède n'était aps encore achevé, et Charles XI, qui l'avait commencé, habitait dans l'ancien palais du Ritterholm qui regarde la lac Moeler. C'est un grand bâtiment en force de fer à cheval. Le cabinet du roi était à l'une des extrémités, et à peu près en face se trouvait la grande salle où s'assemblaient les états quand ils devaient recevoir quelque communication de la couronne.
Lees fenêtres de cette salle semblaient en ce moment éclairées d'une vive lumière. Cela parut étrange au roi. Il supposa d'abord que cette lueur était produite par le flambeau de quelque valet. Mais qu'allait-on faire à cette heure dans uune salle qui depuis longtemps n'avait pas été ouverte? D'ailleurs la lumière était trop éclatante pour provenir d'un seul flambeau. On aurait pu l'attribuer à un incendie; mais on ne voyait point de fumée, et les vitre n'étaient pas brisées, nul bruit ne se faisait entendre; tout annoncait plutot une illulination. [...]
"Je veux aller moi-même dans cette salle", dit le roi. En achevant ces mots, on le vit pâlir, et sa physionomie exprimait une espèce de terreur religieuse. Pourtant il sortit d'un pas ferme; le chambellan et le médecin le suivirent chacun tenant une bougie allumée.

Le concierge qui avait la charge des clefs était déjà couché. Baumgarten alla le réveiller et lui ordonna, de la part du roi, d'ouvrir sur-le-champ les portes de la salle des états. [...]
D'abord il ouvrit la porte d'une galerie qui servait d'antichambre [...]. Le roi entra; mais quel fut son étonnement en voyant les murs entiérement tendus de noir!!!!!
"Qui a donné l'ordrede faire tendre ainsi cette salle?" demande-t-il d'un ton de colère. "Sire, personne que je sache..." répondit le concierge tout troublé "Et la derniere fois que j'ai fait ballayer la galerie elle était lambrissée de chênes comme elle l'a toujours été...Certainement ces tentures-là ne viennent pas du garde-meuble de Votre majesté [(dans ce passage les trois sujets du roi flippent comme des tarés)...]
"Entrons, dit le roi d'une voix ferme en s'arrêtant devant la porte de la grande salle; et toi, le concierge, ouvre vite cette porte." Il la poussa du pied, et le bruiit répété par l'écho des voûte retenti comme un coup de canon.
Le concierge tremblait tellement que sa clef battait la serrure sans qu'il pût parvenir à la faire entre. [...]

La grande salle était éclairée par une infinité de flambeaux. Une tenture boire avait remplacé l'antique tapisserie à personnages. Le long des murailles paraissaient disposés en ordre, commme à l'ordinaire, des drapeaux allemands, danois ou moscovites, trophées des soldats de Gustave-Adolphe. On distinguait au milieu des bannières suédoises, couvertes de crêpes funébres.
[...]Tous étaient habillés de noir, et cette multitude de faces humaines, qui paraissait lumineuses sur un fond sombre, éblouissaient tellement les yeux que des quatre témoins de cette scène extraordinaire aucun ne put trouver dans cette foule figure connue. [...]
Sur le trône élevé d'où le roi avait coutume de haranger l'assemblée, ils virent un cadavre sanglant, revêtu des insignes de la royauté. A sa droite, un enfant, debout et la couronne en tête, tenait un sceptre ; à sa gauche, un homme âgé, ou plutôt un autre fantôme s'appuyait sur le trône. [...]
Entre le trône et les bancs de l'assemblée, il y avait un billot couvert d'un crêpe noir, et une hache reposait auprès.
Personne dans cette assemblée surhumaine, n'eut l'air de s'aapercevoir de Charles et des trois personnees qui l'acompagnaient. [...] puis le plus âgé des juges en robes noires, celui qui paraissait remplir la fonction de président se leva. te frappa trois fois de sa mai sur un in-folio ouvert deevant lui. [...] Quelques jeunes gens de bonne mine, habillés richement, et les mains liées derriere le dos entrèrent dans la salle. [...]
Le premier des prisonniers s'agenouilla, tendit la tête; la hache brilla dans l'air et retomba aussitôt avec bruit. Un ruisseau de sang jaillit sur l'estrade et se confondit avec celui du cadavre; et la tête bondissant plusieurs fois sur le pavé rougi, roula jusqu'aux pieds de Charles, qu'elle teignit de sang. [...] et d'un ton solennel: "CHARLES ROI, ce sang ne coulera pas sous ton règne... (ici la voix devint moins distincte) mais cinq règnes après. Malheure, malheur au sang de Wasa!"
Alors les formes dees nombreux personnages de cette étonnante assemblée commencèrent à devenir moins distinctes et ne semblaient déjà plus que des ombres colorées, bientôt elles disparurent tout a fait; les flambeaux fantastique s'éteignirent et ceux de Charles et de sa suite n'éclairèrent plus que les vieille tapisserie , légèrement agitées par le vent. [...]seulement la pantoufle de Charles conserva une tâche rouge, qui seule aurait suffi pour lui rapeler les scènes de cette nuit, si elles n'avaient pas été trop bien gravées dans sa mémoire.

Rentré dans son cabinet, le roi fit écrire le récit de ce qu'il avait vu, la fit signer par ses compagnons et la signa lui meme. Quelques précautions que l'on prît pour cacher le contenu de cette pièce au public, elle ne laissa pas d'être bientôt connue, même du vivant de Charles XI; elle existe encore et jusqu'à présent personne ne s'est avisé d'élever des doutes sur son authenticité. La fin en est remarquable: "Et si ce que je viens de vous rrelater, dit le roi, n'est pas l'exacte vérité, je renonce à tout eespoir d'une vie meilleure, laquelle je puis avoir méritée pour quelques bonnes actions, et surtout pour mon zèle à travailler au bonheur de mon peuple, et à défendre la religion de mes ancêtres."

Maintenat si l'on se rappelle la mort de Gustave III, et le jugement d'Ankarstroem, son assasin, on trouvera plus d'un rapport entre cet événement et les ciconstances de cette singulière prophétie.
Le jeune homme décapité en présence des états aurait désigné Ankarstroem.
Le cadavre courronné serait Gustave III
L'enfant, son fils et son successeur, Gustave-Adolphe IV.
Le viellard, enfin, serait le duc de Sudermanie, oncle de Gustave IV, qui fut regent du royaume, puis enfin roi après la déposition de son neveu.


Voila c'est tout pour aujourdui