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Envoyé par le Samedi 30 Octobre 2004 à 22:53


Le 30/10/2004, Aktiviste03 avait écrit ...

Manson du goth.... MUHAHAHAHA....
Nightwish c'est pas du goth non plus soit dit au passage.


tu me diras alors ce que c'est.... une voix pareille est caractéristique du gothique... et les mélodies et les instrumentales aussi.... (soit dit au passage, j'ai étudié de nombreuses thèses sur le gothique ^^)... les émotions véhiculées sont exactement celles que prône le gothique...


sheriff_jackson

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Envoyé par sheriff_jackson le Samedi 30 Octobre 2004 à 22:55


c'est à dire ? quelles émotions ?! (par simple curiosité... n'étant pas trop gothique... )

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BattosaiHirage

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Envoyé par BattosaiHirage le Samedi 30 Octobre 2004 à 23:41


Sum41 perso je trouve ca minable. LP aussi, Blink182 aussi. Sinon Manson n'est effectivement pas du goth. C'est du "black metal". Nightwish c'est plutot du "holywood metal" ou "metal opera". Perso j'écoute... Dimmu Borgir, Nightwish, Metallica, Jimmi Hendrix, The Velvet Underground,... C'est varié ^^ Mais rien ne vaut Aerith's theme *love*


Corvis

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Envoyé par Corvis le Samedi 30 Octobre 2004 à 23:48


Raté Batto, Manson c'est du Glam Rock (ne me demande pas la définition, j'en ai aucune idée)
Nightwish connais, mais si c'est du Hollywood metal (le vrai nom c'est lyric metal) ça doit être comme Rhapsody et je dois aimer...
Sinon, le punk californien, c'est bien gentil mais ça ne vaut pas le bon vieux punk old school, Grennday, NoFx, les Betteraves...

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Aktiviste03

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Envoyé par Aktiviste03 le Samedi 30 Octobre 2004 à 23:51


bon alors:
nightwish= heavy métal symphonique
de rien

pour ce qui est du gothique, je vous invite à écouter du liturgy of decay, aucune comparaison possible, c'est glacial, c'est grandiose.
Quant aux thèses sur le gothique (le petit: ^^), je me marre&#8230;tu comptes devenir gothiquologue ? (logue lol lolesque). Bac +6 sciences gothiques, ça fait hype en garden party.

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BattosaiHirage

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Envoyé par BattosaiHirage le Samedi 30 Octobre 2004 à 23:57


Moi rhapsody j'aime bien mais la voix du chanteur passe pas... Trop aigu.


sheriff_jackson

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Envoyé par sheriff_jackson le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:00


Corvis... tas une vizion un peu trash du glam-rock... ok le glam et Manson c'est les 2 de la m****. en fait, pour ma part, je vais prendre l'optique de Corvis et mettre tout ce que j aime pas dans la cathégorie glam-rock (ps: glam-rock signifie glamour-rock -placebo, david bowie etc...) !!! et au fond, le glam-rock ne représente-t-il pas tout ce que je déteste ?!?!

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Krishaor

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Envoyé par Krishaor le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:05


L'architecture gothique Art français, art ogival, art gothique… Ces différentes appellations témoignent des difficultés rencontrées pour définir l'art nouveau qui s'épanouit en Europe entre les XIIeet XVIe siècles. Ce sont les Italiens qui, au XVIIe siècle, baptisent l'art français de manière péjorative "art gothique", pour signifier barbare. Ce mot marque le mépris porté alors à l'art médiéval. Au XIXe siècle, les termes ogival et gothique deviennent synonymes. Dans le Génie du christianisme, Chateaubriand intitule un chapitre : Des églises gothiques. D'un style à l'autre Aux alentours de l'an mil, "un blanc manteau d'églises" couvre l'Occident. Essentiellement religieux, l'art roman se caractérise par l'utilisation de la voûte en berceau. Ces voûtes de pierre éprouvent la résistance des murs qui, pour supporter un tel poids, doivent être épais et renforcés. Pour ne pas les fragiliser, on évite de percer des fenêtres. Les églises romanes sont donc des bâtiments trapus et sombres. Leur plan dessine généralement une croix latine et la décoration est concentrée sur les chapiteaux, le porche et le tympan. L'art gothique se substitue peu à peu à l'art roman pendant la seconde moitié du XIIe siècle dans les villes de l' Île-de-France. Il se définit par l'utilisation systématique de la voûte sur croisée d'ogives, d'arcs-boutants et de fenêtres en arc brisé. Empruntant des procédés du style roman, l'architecture gothique recourt aussi à de nouvelles techniques : la croisée d'ogives dirige les poussées de la voûte sur des piliers, et non plus sur des murs ; les arcs-boutants servent de soutien extérieur aux piliers, ils s'appuient sur des contreforts ; entre les piliers, les murs qui ne soutiennent plus la voûte sont percés de hautes et larges fenêtres en forme d'arc brisé. Le gothique s'exprime en premier lieu dans les édifices religieux. Il se trouve également dans la construction d'édifices civils ou militaires, comme des palais (palais de Saint Louis à Paris, palais de justice de Rouen), des châteaux forts (Falaise, Angers, Pierrefonds, château des ducs de Bourgogne à Dijon), des hôpitaux, des halles, des hôtels de ville, des beffrois, des maisons (maison Jacques-Cœur à Bourges, résidence des abbés de Cluny), ou des enceintes fortifiées (Carcassonne, Saint-Malo, Aigues-Mortes). Un art de la lumière "Une œuvre magnifique qu'inonde une lumière nouvelle" Abbé Suger, inscription gravée dans la basilique de Saint-Denis. L'art gothique est d'abord un art de la lumière. La conquête de la lumière passe par l'agrandissement progressif des fenêtres et par l'emploi de plus en plus fréquent de verre plat, blanc ou coloré, même sur les constructions civiles. Précurseur du "mur de verre" moderne, l'art gothique utilise le verre à grande échelle dans l'architecture civile et religieuse. D'immenses verrières inondent de lumière l'intérieur des édifices. Du XIIe au XIVe siècle, des verreries voient le jour au voisinage des forêts pour alimenter les constructions urbaines. Le développement de cette industrie nouvelle, lié aux progrès de la métallurgie, est possible grâce à l'amélioration des systèmes de soufflerie et d'utilisation des combustibles. Le verre est ainsi amené plus facilement à l'état de fusion. Au même moment apparaît l'éclairage sans fumée, chandelle ou cierge, qui remplace la torche résineuse ou la lampe à huile. Lecture, étude, dessin s'en trouvent considérablement facilités autant que par une autre invention, celle des lunettes. Les vitraux La conquête de la lumière, c'est aussi, dans les églises, le développement des vitraux. Dans son traité, De diversis artibus, le moine Théophile, au XIe siècle, évoque cet art et l'assemblage auquel on procède. Découpés au fer rouge, les morceaux de verre de couleurs différentes sont sertis dans un maillage de plomb, formant une mosaïque lumineuse. Ce déploiement, vif, brillant et coloré, participe de la riche décoration des églises. Il s'oppose à l'austérité cistercienne. L'art du vitrail aboutit, écrit Georges Duby, "…aux grandes roses qui rayonnent au milieu du XIIIe siècle sur les nouveaux transepts. Elles portent à la fois signification des cycles du cosmos, du temps se résumant dans l'éternel, et du mystère de Dieu, Dieu lumière, Christ soleil" Suger, pour réaliser les vitraux de Saint-Denis, "avait recherché avec beaucoup de soin les faiseurs de vitraux et les compositeurs de verres de matières très exquises, à savoir de saphirs en très grande abondance qu'ils ont pulvérisés et fondus parmi le verre pour lui donner la couleur d'azur, ce qui le ravissait véritablement en admiration". Bien que Villard de Honnecourt ne présente pas de vitraux dans le Carnet, il parle de verrières et dessine plusieurs roses, dont celle de Chartres, ainsi que des fenestrages de pierre sur lesquels il prévoit les feuillures pour les verres. L'art du vitrail prend le pas sur la peinture murale. L'attention se recentre autour des maîtres verriers qui rehaussent les à-plats de verre pour y souligner les drapés. Un des plus beaux ensembles de vitraux se trouve à Chartres : 160 baies vitrées, 2 600 m2 de verrières comprenant quelque 5 000 personnages. Une rosace d'un diamètre d'environ 10 mètres surmonte chacun des trois portails. Les vitraux sont d'une grande richesse de couleurs où prévalent les bleus (le "bleu de Chartres") et les rouges au XIIe siècle, puis les verts et les ors au XIIIe siècle. Ils diffusent une lumière douce et colorée. Au milieu du XIIIe siècle, les grisailles, simple verre blanc rehaussé de dessins géométriques, sont de plus en plus employées pour laisser passer plus encore de lumière. Les parois de verre expliquent les Écritures et la vie des saints. Elles illustrent des épisodes de la Bible (vitrail de la Passion du Christ, 1155, au revers de la façade occidentale). Des scènes profanes sont également représentées (Le Marchand de vin, détail de la vie de saint Lubin, v.1200-1210, 2e fenêtre du bas-côté nord de la nef). Un style plus naturaliste se répand. Sur ce vitrail, une gerbe multicolore "explose" sur un fond rouge. À Chartres, la rose nord est offerte par la régente Blanche de Castille, mère de Louis IX. Elle représente une Vierge à l'enfant. Ces donations sont habituellement faites par les rois, l'Église, les plus fortunés, les chevaliers, les corps de métiers ou la ville. La profusion du décor La sculpture : "une Bible d'images" La sculpture romane se développe principalement sur les chapiteaux des piliers et au tympan des portails. Les sculptures représentent généralement le Jugement dernier : le sort des malheureux voués à l'enfer y est décrit en détail pour impressionner les fidèles. Le gothique se veut plus proche de l'homme. Il est une délivrance des peurs ancestrales, du monde foisonnant de monstres qui caractérisent le roman. "La pensée nouvelle, écrit Georges Duby, faisait reculer la fable, le fantastique des bestiaires, toutes les merveilles inventées alors que croisés, marchands et missionnaires partaient à la découverte de contrées inconnues, elle dissipait les brumes et les fantasmes, elle venait substituer des bêtes vivantes aux monstres que les héros des romans courtois rencontraient naguère sur le chemin de leur errance, et les feuilles que chacun peut voir dans la forêt à la flore symbolique des enluminures…" Ainsi, les chapiteaux intérieurs sont-ils souvent décorés de plantes et de fleurs. La sculpture gothique tend à exprimer l'idée d'un Dieu plus humain, d'un Dieu de miséricorde. De même, tout dans le vitrail est fait pour rappeler que "Dieu est lumière". Le gothique transmet l'image d'une religion plus apaisée, voire optimiste. L'art chrétien dessine alors une religion de l'espérance et de l'indulgence. Aux portes des édifices, des bas-reliefs relatent des scènes de la vie quotidienne de l'époque comme le Calendrier des mois du portail de Saint-Firmin de la cathédrale d'Amiens. Animaux fantastiques et autres monstres ont disparu. Le décor se définit par son naturalisme. Ce souci de vérité s'étend à la représentation humaine. Les portails sont ornés de statues-colonnes. À Chartres, celles du portail royal représentent les rois et reines de l'Ancien Testament (v. 1150). Les compositions sont centrées sur le Christ aux traits d'un homme beau et bon tel le Beau Dieu d'Amiens (v. 1230). Les tympans représentent désormais un Christ sauveur et accueillant, à l'image du Christ du Jugement dernier au portail de la cathédrale Saint-Étienne à Bourges. Le décor des portails change avec la présence de Marie à qui la plupart des cathédrales sont dédiées sous le vocable de "Notre-Dame" : à Notre-Dame de Paris, un portail est consacré à la Vierge vers 1210. La sculpture ne fait plus corps avec le mur. De plus en plus dégagées de l'architecture, les statues perdent l'aspect immobile et fantastique des figures romanes. Les personnages s'humanisent et témoignent d'un souci de raffinement. Les mouvements et les attitudes deviennent gracieux, les poses plus naturelles comme en témoigne à Reims le sourire de l'Ange de l'Annonciation (v. 1250). Le vitrail et la sculpture sont considérés comme les arts les plus importants du gothique. Pourtant, les "arts mineurs" suscitent aussi des chefs-d'œuvre. Miniaturistes, ivoiriers ou orfèvres excellent dans leur art. Les différentes périodes Le gothique s'étend du premier tiers du XIIe siècle jusqu'au XVIe siècle, de la fin du monde roman à la Renaissance. On le divise généralement en trois grandes périodes : Le gothique primitif (premier tiers du XIIe siècle - premier tiers du XIIIe siècle). Les premiers édifices gothiques sont encore assez trapus. L'arc en plein cintre ne disparaît pas immédiatement. On le trouve encore dans les grandes roses de façade. Les voûtes sont généralement conçues sur un plan carré, six branches d'ogives reposant sur des piles alternativement fortes ou faibles, ce qui permet de canaliser la poussée vers des points de retombée entre lesquels les murs ne seront plus porteurs. À l'extérieur, apparaissent des arcs-boutants dont la fonction est de contre-buter la poussée des voûtes qui, avant leur invention, s'exerçait uniquement sur les murs. Ces techniques rendent possible la construction de nefs de plus en plus hautes. Les fenêtres restent pourtant d'une taille relativement modeste. L'élévation comporte généralement quatre niveaux : les arcades, les tribunes, les arcatures aveugles et les fenêtres hautes. Les chapiteaux, points de jonction de la voûte et de la pile, sont ornés de motifs végétaux dont l'extrémité est recourbée en forme de crochets. Ce style s'affirme avec la construction de l'abbatiale de Saint-Denis. Suger (v. 1081-1151) est nommé abbé de Saint-Denis en 1122 et décide vers 1137 de reconstruire l'abbaye bénédictine de Saint-Denis. Pour ce faire, il utilise pour la première fois de manière systématique tous les procédés architecturaux du gothique. Grâce à lui, le nouveau style s'exprime totalement. La basilique devient le modèle dont se sont inspirés les bâtisseurs des cathédrales de Chartres, de Senlis et de Meaux. La rapidité de la construction s'explique par la ferveur des fidèles qui y participent et l'habileté de Suger. Le chœur est consacré en 1144 en présence de Louis VII. On découvre alors une création architecturale originale. Principaux édifices : la basilique de Saint-Denis (1137-1144), les cathédrales de Bourges (1172-1235), Chartres (1194-1220), Laon (1150-1233), Noyon (1150-1220), Paris (1153-1250), et Sens (1130-1168). L'apogée (vers le milieu du XIIIe siècle) Le style atteint sa pleine mesure grâce à l'emploi de l'arc brisé, plus résistant que l'arc en plein cintre. Son usage se généralise, ce qui permet d'accroître considérablement la hauteur des murs et d'alléger l'allure de l'ensemble. Les verticales jaillissent du sol et montent vers le ciel, toujours plus haut, plus près de Dieu. Malgré ce goût pour la démesure, la recherche de l'harmonie est constante : la succession régulière des piliers et des arcs produit une impression d'équilibre et de régularité. Les voûtes deviennent rectangulaires ou barlongues, le plus souvent à quatre quartiers. Ceci permet de répartir le poids de manière homogène sur des piliers cantonnés (piliers à fût central cerné de quatre colonnettes engagées). Les murs s'évident considérablement pour laisser place à de grandes fenêtres. Les ouvertures l'emportent sur les pleins et la lumière inonde ces vastes édifices ornés de sculptures, de miniatures et de rosaces. Les tribunes, dont l'inconvénient principal était de diminuer la lumière, sont remplacées par des arc-boutants. L'élévation à trois niveaux tend à se généraliser. Les chapiteaux sont ornés de bouquets de feuillage sculptés. Il est difficile aujourd'hui d'imaginer les conditions dans lesquelles travaillaient les hommes qui lançaient à près de cent cinquante mètres de hauteur les flèches de leur cathédrale. Ils n'avaient aucun moyen de calcul préalable et se basaient sur des méthodes empiriques dictées par l'expérience acquise sur des édifices bien moins ambitieux. Ils se montrèrent parfois trop audacieux. Aussi les accidents n'étaient-ils pas rares sur les chantiers des cathédrales : ainsi, en 1267 la tour de la cathédrale de Sens s'écroule, en 1272 la flèche de Sainte-Bénigne de Dijon, en 1284 la voûte du chœur de la cathédrale de Beauvais et en 1573 la flèche récemment édifiée. En Angleterre, au XIVe siècle, la cathédrale d'Hereford s'effondre. En Allemagne, en 1492, quatre ans après sa construction, la tour de la cathédrale d'Ulm penche dangereusement. Principaux édifices : les cathédrales d'Amiens (1220-1270), Bourges (1172-1235), Beauvais (1225-1270), Reims (1211-1287), et la Sainte-Chapelle (1245-1248). Le gothique flamboyant (XVe et XVIe siècles) À la fin du XIIIe siècle, les efforts se concentrent sur le renouvellement du décor. Le dernier aspect de l'architecture gothique est donc moins marqué par une évolution de structure que par l'ajout, voire la surcharge, d'ornements. Certains plans sont même simplifiés. Les décors et les frises à base de motifs de flammes ou de torsades deviennent exubérants. Principaux édifices : Saint-Vulfran à Abbeville, Saint-Jacques à Dieppe, Saint-Germain-l'Auxerrois à Paris, Saint-Maclou à Rouen. Diffusion du gothique en Europe Aujourd'hui, des édifices gothiques se dressent aux quatre coins de l'Europe, d'Alcobaça au Portugal, à York ou Salisbury au Royaume-Uni, en passant par Uppsala en Suède, Prague en République tchèque ou Assise en Italie. Au Moyen Âge, le gothique se répand rapidement hors de sa région d'origine, en s'adaptant de manière plus ou moins prononcée à l'architecture locale. L'art gothique prend d'abord naissance en Île-de-France, on parle quelquefois d'"art français". Il rayonne ensuite hors du royaume capétien, exporté par des ordres religieux. Il est très vite adopté au nord des pays français. Les provinces méridionales semblent, par contre, plus récalcitrantes : le gothique est un art venu des provinces du Nord, importé par les moines et les chevaliers venus en conquérants à l'occasion de la croisade menée contre les cathares. Finalement, ces provinces sont à leur tour conquises et le style nouveau se répand, même s'il assimile quelques traditions régionales. À Toulouse ou à Albi, par exemple, il se caractérise par l'emploi de la brique, la disparition des arcs-boutants, l'emploi de fresques, et de fenêtres moins larges. Puis l'ensemble de l'Occident chrétien se couvre d'édifices gothiques. Les "commis voyageurs" du gothique, du XIIe au XVe siècle, sont nombreux. On relève les noms de Mathieu Paris (cathédrale de Trondheim en Norvège), Petrus qui, au milieu du XIIe siècle, construit la cathédrale de Tolède, &Eactute;tienne de Bonneuil (cathédrale d'Uppsala en Suède), Jean le Maçon (cathédrale de Gyulaféhérvar, Transylvanie), Mathieu d'Arras (cathédrale de Prague). Le gothique trouve en Europe des expressions différentes. L'Espagne est influencée par les écoles françaises. La cathédrale de Tolède au XIIIe siècle ressemble à la cathédrale de Bourges. Mais les influences arabes demeurent également, en Espagne et au Portugal, dans la forme des arcs. L'Angleterre généralise la croisée d'ogives dès la fin du XIe siècle, l'architecture s'y développe de manière originale. À Londres, les maisons du Parlement (XIIIe siècle) ont une allure colossale. Leurs lignes perpendiculaires définissent le gothique anglais. La cathédrale de Cologne (1240-1322) présente un modèle français de l'autre côté du Rhin. Le chœur reproduit celui d'Amiens et de Beauvais. Dans l'opulente cité de Venise, le Grand Canal est bordé de maisons et de palais bâtis par de riches marchands ou des nobles. La façade du palais Ca'd'Oro (1421-1440) est de style oriental. Les balcons sont ornés de rosaces ajourées, marque d'un style gothique librement interprété. Bien qu'elle ait lieu à des époques et dans des régions différentes, la diffusion du gothique touche tout l'Occident chrétien. source : http://classes.bnf.fr/villard/reperes/index4.htm Krishaor, voila de quoi on parle. _________________

[ Edité par Krishaor Le 31 oct 2004 ]

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C’est l’apanage de tout système totalitaire que de geler les débats, de faire croire que les questionnements sont clos et de dire que le pouvoir a toujours raison, en se justifiant (entre autres) par la nécessité de maintenir l’ordre.

sheriff_jackson

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Envoyé par sheriff_jackson le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:08


looooooooooooooooool Krishaor... stp... (mais c'était bien pensé )

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Corvis

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Envoyé par Corvis le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:10


Le 31/10/2004, sheriff_jackson avait écrit ...

Corvis... tas une vizion un peu trash du glam-rock... ok le glam et Manson c'est les 2 de la m****. en fait, pour ma part, je vais prendre l'optique de Corvis et mettre tout ce que j aime pas dans la cathégorie glam-rock (ps: glam-rock signifie glamour-rock -placebo, david bowie etc...) !!! et au fond, le glam-rock ne représente-t-il pas tout ce que je déteste ?!?!
Ben c'est pas moi qui l'ait dit, c'est comme ça, Manson est classé dans la catégorie glam-rock. Mais désolé de te décevoir, perso j'aime bien Manson... D'un autrecôté, y'a pas beaucoup de styles que j'aime pas...

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Feanor_le_Noldor

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Envoyé par Feanor_le_Noldor le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:12


PLease no flood j'ai pas envie de lire 4 pages de commentaires De plus vos parents ne vous ont jamis dit quelque chose comme: "On ne dit pa c nul , on dit j'aime pas" Merci de respecter l'opinion des personnes ki aiment bien Sum41


sheriff_jackson

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Envoyé par sheriff_jackson le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:13


me décevoir ? tu aimes ce que tu aimes je n'ai pas à juger ! MOI je trouve ça naze je ne dis pas que ceux qui aime ça sont naze ou qu'il ne faut pas écouter ça... pour ce qui est du classement de Manson dans le glam je trouve ça bien louche... mais c'est possible après tout c'est difficile de le mettre dans une "cathégorie" (même si j'aime pas ce terme en musique) bien précise le Manson

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ciryc

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Envoyé par ciryc le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:20


Sinon, le punk californien, c'est bien gentil mais ça ne vaut pas le bon vieux punk old school, Grennday, NoFx, les Betteraves...


perso je classe nofx ds le punk gentil cad juste quelques idéologies punk et l'absence de nombreuse notion qui en sont aujourd'hui devenu la base.
par les bettraves...j'adore!!!

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[16:59] <galeo09> il est quelle heure a DTC

sheriff_jackson

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Envoyé par sheriff_jackson le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:37


de toute façon et c'est triste à dire, la musique de nos jours, c'est de la POLITIQUE. je suis d'accord, c'est bien beau toutes ces idéologies et toutes ces causes à défendre mais il fut un temps où l'on jouait de la musique pour la meilleure et la plus conne des raisons qui soit : ON AIMAIT CA, on aimait pouvor se défouler, faire ce que l'on aimait faire !...

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Envoyé par ciryc le Dimanche 31 Octobre 2004 à 00:41


hum interessant mais aujourd'hui la musique est l'un des moyens d'expression principaux donc il est logique que les musiciens passent lers message ds leurs chanson.
j'ajouterai aussi que qd aucun message n'est sérieux n'est passer on tombe souvent sur des merdes lories ou jennifer mais sa c'est 1 avis tt se kil ya de + personnels

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[16:59] <galeo09> il est quelle heure a DTC

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