Article Magic : Tutorial pour Magicworkstation

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kuroro

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Tutorial pour Magicworkstation

Type : Magic Extra

Catégorie : Magic sur ordinateur

Posté le 11/04/2004 par kuroro

Magicworkstation, communément abrégé « MWS » est un logiciel très complet qui permet de créer, évaluer, archiver, tester (seul ou contre un adversaire) des decks, générer des paquets scellés et bien d’autres choses encore, comme imprimer des proxies, rechercher des cartes… (Sauf le café, mais comme c’est pas super bon pour la santé….)
C’est un logiciel pourvu de sons lors des parties, existant en différents langages (dont le Français depuis quelques temps !) et il est en plus possible d’ajouter les images des cartes pour jouer avec des visuels très proches du jeu réel.
Il est disponible gratuitement au téléchargement sur le site du développeur (d’origine Russe semble-t-il) www.magicworkstation.com et il est possible d’obtenir une version un peu plus complète pour une somme assez modique. (La version gratuite est déjà plus que satisfaisante)
Il est en plus en constante amélioration, et les updates sont très régulières.

Je vous propose de découvrir en détail le meilleur logiciel pour jouer gratuitement à Magic sur le net !

Salut à vous lecteurs ! Le plan est le suivant : l’installation et la configuration (ajout des images, changement de la langue), puis découverte de l’interface de MWS, et enfin comment jouer sur le net. Vous pouvez lire l’ensemble du texte comme un tout, mais aussi rechercher avec la fonction Recherche de votre navigateur des réponses à une question précise. Bonne lecture ! I. Installations 1) Installation du logiciel Sur la page http://www.magicworkstation.com/downloads.php, commencez par télécharger le fichier MWS0.94d.exe (c’est la version disponible au moment où j’écris ces lignes) qui fait tout de même 9.5 Mo ! Puis lancez l’installation. On vous propose un répertoire pour installer le logiciel, C:\Program Files\Magic Workstation convient tout à fait (Je vais utiliser comme exemple ce répertoire qui correspond au stockage de donnée sur un disque dur nommé C tout au long du tutorial mais bien d’autres configurations sont possibles). On vous propose aussi d’installer un raccourci qui sera pratique si vous jouez beaucoup. Le logiciel ne contient pas de Pack de jeu directement compris, il vous faut donc le télécharger (mtg_gamepack 1.1 Mo) et l’installer aussi. Vous le trouvez sur la même page de téléchargement que le logiciel, dans le second tableau « Database Packs for Supported Games ». MWS est un logiciel qui sera un jour adapté à d’autres CGG ! Au lancement, un petit écran intermédiaire vous propose d’enregistrer votre version pour une somme modique afin d’obtenir quelques options supplémentaires. Au bout de 5 secondes, vous pouvez le faire disparaître en cliquant sur Ok. L’écran standard ressemble à ça : [img_article]1.jpg[/img_article] Mais avant de l'explorer, voici comment passer MWS dans la langue de Molière, pour les anglophobes. Je ne recommande pas cela, car il est toujours profitable de pratiquer un peu l’anglais, quitte à chercher un ou deux termes dans le dico ou sur le net, vous n’en ressortirez que plus malins ! 2) Mettre MWS en français. _Cette petite manipulation vous permettra d’afficher toute l’interface du logiciel en français. Pour cela retournez sur le site officiel, sur la page http://www.magicworkstation.com/translations.php et téléchargez le patch en cliquant sur download de la ligne du tableau du bas : French (Translator: GlooTeam) ------ MWS 0.94 ------- 10 Jan 2004 ------ Download Ensuite, dézippez le fichier, vous obtenez 4 petits sous-fichiers : (French.mwc, French.mwl, French.mwp, French.mwt) Il faut les placer dans le fichier Languages de mws (normalement C:\Program Files\Magic Workstation\Languages) avec les 4 fichiers « English ». Accédez alors au menu « Preference » de MWS, soit en appuyant sur F10, soit depuis l’onglet Tools, la dernière case. Dans la fenêtre qui apparaît, rendez vous sur la page language pour remplacer dans les trois menus English (ou default) par French puis cliquez sur Ok. [img_article]2.jpg[/img_article] Toute l’interface est alors en français. _Il est aussi possible de faire apparaître les cartes en français, ce que je recommande encore moins à cause des aléas de traduction, du problème de l’absence de texte Oracle, d’un nombre restreint de cartes traduites et toujours le même problème que cela ne vous fait progresser en rien. Pour cela, retournez sur la page http://www.magicworkstation.com/translations.php et téléchargez la base de cartes en français en cliquant sur download de la ligne du tableau du haut : French (Thanks to: Magicville) ------ MWS 0.94 ------- 6 Oct 2003 ------- Download Ensuite, dézippez le fichier, vous obtenez le fichier « France.mwForeign », à placer dans votre répertoire principal pour MWS : C:\Program Files\Magic Workstation. Retournez sur l’écran préférences (F10) et sur la page interface graphique indiquez le chemin d’accès vers votre fichier (C:\Program Files\Magic Workstation\France.mwForeign) en 1, puis cochez les cases 2, 3, selon que vous voulez avoir l’intégralité des informations des cartes en Français ou simplement une partie. [img_article]3.jpg[/img_article] A noter malheureusement pour les anglophobes que cette traduction n’est pas encore supportée par MWSplay (la partie du logiciel qui sert à jouer), les cartes seront donc affichées en V.O. lors du jeu. La version 0.95 comblera ce manque, d’après les développeurs. Le point 4 de l’image concerne les thèmes et sera développé en 4) (c’est logique ) 3) Mettre les illustrations des cartes La 1ère étape consiste à récupérer les (nombreuses) images des cartes. Il est possible de mettre seulement les illustrations (crop), le corps du texte étant alors de type MWS, correspondant au texte oracle (texte corrigé dans cartes en cas d’errata), ce qui est définitivement le mieux. Il est tout aussi possible de prendre les scans de cartes entiers (Full). Rendez vous alors sur la page http://www.magicworkstation.com/links.php, vous y trouverez de nombreux sites qui proposent entre autres les images des cartes au téléchargement (il y a même un petit programme pour les installer directement, MWSassist, qui est plutôt efficace), ainsi que des thèmes (voir plus loin). Si le petit logiciel ne fonctionne pas ou si vous n’avez pas confiance, voici la procédure normale (manuelle) : Les images se récupèrent sous forme de dossier contenant tous les scans (full ou crop) d’une extension et portant l'abréviation de l'édition qu'elles illustrent. Il suffit de créer un dossier, PICS par exemple, dans le répertoire de MWS : C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS et d’y placer l’ensemble des dossiers des éditions (ainsi que les cartes « bonus ») de façon à avoir des chemin d’accès de type : C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS\ON pour carnage (Onslaught) ou encore C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS\AQ pour Antiquities Avec les scans des cartes directement dans le dossier avec les initiales : C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS\ON\accursed centaur C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS\ON\airdrop condor Etc… Il faut faire attention car les fichier zip contiennent parfois un dossier comme AL avec un autre dossier AL à l’intérieur, lui contenant les scans, et cela n’est pas reconnu par MWS. Le second point qui doit être vérifié est que les initiales correspondent bien à celles attendues par le logiciel. Voici le résumé des abréviations exactes : PR : Promo Cards OV : Oversize (6x9) VG : Vanguard TK : Tokens A : Alpha (et non Al) B : Beta (et non Be) U : Unlimited (et non UL) AN : Arabian Nights AQ : Antiquities R : Revised LG : Legends DK : The Dark FE : Fallen Empires 4E : 4th Edition IA : Ere Glaciaire/Ice Age CH : Chronicles HL : Terres Natales/Homelands AL : Alliances MI : Mirage VI : Visions 5E : 5th Edition PT : Portal WL : Aquilon/Weatherlight TE : Tempête/Tempest SH : Forteresse/Stronghold EX : Exode/Exodus P2 : Portal Second Age UG : Unglued US : L’Epopée d’Urza/Urza's Saga AT : Anthologies UL : L’Héritage d’Urza/Urza's Legacy 6E : 6th Edition UD : La Destinée d’Urza/Urza's Destiny P3 : Portal Three Kingdoms ST : Starter-1999 MM : Masques de Mercadia/Mercadian Masques NE : Némésis/Nemesis PY : Prophécie/Prophecy IN : Invasion/Invasion PS : Planeshift/Planeshift 7E : 7th Edition AP : Apocalypse/Apocalypse OD : Odyssée/Odyssey TO : Tourment/Torment JU : Jugement/Judgment ON : Carnage/Onslaught LE : Légions/Legions SC : Fléau/Scourge MR : Mirrodin/Mirrodin 8E : Huitième Edition/Eighth Edition DS : Sombracier/Darksteel Ensuite vous retournez dans Préférences (F10) puis dans "Image view" (Illustrations). Cochez les cases qui conviennent à votre type d’illustration choisi (crop ou full) puis cliquez sur "Setup Pictures Directory" (Paramétrer le dossier "Illustrations") pour désigner le chemin d’accès à votre répertoire d’images (en cliquant sur l'image représentant un dossier qui s'ouvre (Parcourir)) qui est C:\Program Files\MagicWorkStation\PICS. Cliquez alors sur Ok pour confirmer, et les images sont installées ! Notez qui si vous tombez sur une carte seule dont l’image ne s’affiche pas alors que toutes les autres de l’extension n’ont pas ce problème, le nom de la carte est peut-être mal orthographié. 4) Changer le thème : Le « thème » de MWS correspond à deux choses : - L’aspect des cartes, à savoir un effet plus ou moins brillant de type foil/premium, un découpage des cases pré 8è Edition ou post 8ème Edition, et ce avec différentes variantes. Il y a des choses assez jolies et d’autres qui font mal aux yeux… - Le plan de jeu de MWSplay (la partie du logiciel qui sert à jouer) est modifiée par certains des thèmes, offrant à la place du fond bleu nuit un fond vert par exemple (le plus courant) avec un buste pour représenter le joueur (thème «Magic » par exemple mais il y en a d’autres). Vous trouverez des exemples de rendu au fil de la partie jouer un match. Ces améliorations ne sont que des exemples de ce qu’il est possible d’obtenir en ayant une version enregistrée, où les fonds comme les avatars sont totalement modulables. Pour ces deux points, la version dite de base reste très réussie et très fonctionnelle avec son bleu nuit, à vous d’essayer les différents thèmes pour choisir celui qui vous convient le mieux. La procédure est la suivante, les fichiers sont disponibles au téléchargement sur certains des sites proposant des illustrations. Ces fichiers de type .mwtheme sont à placer dans le dossier C:\Program Files\MagicWorkStation\Themes, à côté du thème initial (Default.mwTheme). Pour choisir un thème, rendez vous une fois de plus dans préférences (F10) et sur la fenêtre Interface (interface graphique) utilisez le menu déroulant appelé Graphic theme (Thème graphique) pour en changer. L’exemple présenté en 4 de l’image précédente permet d’obtenir un aspect foil (premium) des plus récents sur les cartes mais pas de modifications de la partie jeu. II. Le logiciel Vous allez pouvoir dans un premier temps vous familiariser avec l’interface de MWS et faire tous plein de petits réglages à votre convenance (mais c’est aussi possible dans l’autre mode d’affichage) : _L’onglet Help (aide) contient actuellement en plus des infos sur MWS un résumé en Anglais des règles officielles de Magic l’assemblée mais pas encore de coup de main pour vous déplacer dans MWS. _Grâce à l’onglet view (Voir) vous pouvez choisir d’afficher l’image avec le texte d’une carte à gauche à droite ou pas du tout, de modifier les informations présentées dans les colonnes pour chaque carte, et aussi changer de présentation en passant en Deck Edit Mode (Mode de construction rapide de Deck). Passez donc dans ce nouveau mode. L’interface change et vous voici avec quelque chose qui devrait ressembler à ça : [img_article]4.jpg[/img_article] Le thème est celui par défaut et l’affichage choisi est les illustrations associées au texte oracle de la carte. L’interface est en Français, et même si la base utilisée ici est la Master.mwBase (en anglais) le texte des cartes apparaît en français. Cet écran est le plus pratique pour créer vos jeux mais c’est bien sûr tout aussi possible dans l’autre mode. La partie gauche de l’écran est la base de toutes les cartes Magic disponibles, y compris les cartes promotionnelles et autres raretés. La partie droite quant à elle servira de liste pour votre deck. Commencez par créer un nouveau deck en utilisant l’onglet File (Fichier) [img_article]5.jpg[/img_article] En passant vous pouvez voir que cet onglet vous servira de façon très courante pour lancer des decks, des bases de cartes, et les sauvegarder. C’est un des énormes intérêts de MWS, pouvoir gérer et archiver vos cartes et vos decks. 1) Créer un deck Après avoir cliqué sur new deck (créer un deck) ou Ctrl+N, le logiciel vous demande un nom pour votre jeu puis la partie droite de l’écran se vide et est alors prête à être remplie. Je vous suggère de créer un dossier correspondant à chaque type (1, étendu, 2, bloc, etc.) pour y ranger chacune de vos créations, le tout dans le dossier Deck créé lors de l’installation et qui au passage contient déjà de nombreux jeux classiques, les « world champions decks ». Ensuite, vous allez pouvoir sélectionner les cartes de votre jeu. Pour cela, vous avez accès à un système de filtres, soit depuis l’onglet view (voir), soit grâce à la 3ème icône en partant de la gauche, un tableau avec un crayon [img_article]6.jpg[/img_article]. La 1ère icône [img_article]7.jpg[/img_article] sert à réinitialiser tout cela et sa voisine enlève le dernier filtre. Vous pouvez alors restreindre votre panel de cartes de multiples façons, par types (assez pratique pour s’assurer de la légalité de son deck) mais aussi par couleur, rareté, éditions etc. Une fois cela fait (ou sans cela) il suffit d’entrer dans la case search (trouver) le début du nom anglais de la carte si vous avez la base Master.mwBase (la base par défaut et aussi la plus complète) Si vous lancez la base France.mwForeign, qui est moins complète (absence de certaines cartes promo par exemple), vous pourrez effectuer la recherche en français. Pour une recherche plus complète, cliquez sur la 3ème icône (une loupe [img_article]8.jpg[/img_article]) pour accéder au moteur de recherche, accessible aussi de puis l’onglet view (voir) ou par le raccourci F3. Un fois votre carte trouvée, il suffit alors de cliquer le nombre de fois voulu sur la flèche bleue pour l’insérer dans le deck ou sur la flèche verte pour placer la carte dans la réserve. La flèche rouge sert elle à retirer des cartes, ce qui est aussi possible grâce aux icônes +, - et la croix rouge de suppression. Toutes ces commandes sont aussi disponibles depuis l’onglet Edit (Edition). Pour aller plus vite, le clic sur une des flèches bleue ou verte en maintenant le bouton ctrl appuyé permet d’envoyer directement 4 exemplaires de la carte dans le deck. Les deux flèches grises dans la colonne des flèches de couleur servent à déplacer des cartes depuis le jeu vers la réserve et réciproquement. Lorsque votre deck est terminé, vous pouvez en cliquant sur la 6ème icône, une bulle avec un i [img_article]9.jpg[/img_article], entrer des informations concernant le deck ou consulter des infos statistiques sur votre jeu grâce à la 5ème icône (des tabulations[img_article]0.jpg[/img_article]). Pour la sauvegarde, vérifiez que c’est le deck qui est la fenêtre active – surlignée en bleu au niveau du nombre de carte et du mot search (Trouver) car sinon vous risquez de sauver la base de cartes ce qui n’est pas très utile. Cliquez ensuite sur l’onglet file puis save deck/library (Fichier Sauvegarder un deck ou une base) ou as (sous) pour redonner un nom à votre jeu. 2) Importer des decks Un des grand avantage de MWS est qu’il reconnaît de nombreux formats de decks, ceux d’Apprentice, mais aussi de Magicsuitcase voire de simples documents texte. Il suffit d’ouvrir le deck depuis l’onglet File (Fichier), open deck (ouvrir un deck) et de l’enregistrer, il sera alors au format MWS. N’oubliez pas que chaque deck paru sur dans la rubrique éponyme de Magic Corporation est téléchargeable au format .mwdeck directement. Pour convertir un texte, il suffit de passer par l’onglet Tools (outils) auquel nous allons nous intéresser : [img_article]10.jpg[/img_article] Sur le menu préférence (F10) vous pouvez faire tous plein de réglages concernant l’interface du logiciel (comme vu en partie précédemment) et la connexion au net. C’est aussi depuis cet onglet que vous pouvez importer ou exporter des listes de decks au format texte (utile pour imprimer sa liste avant d’aller à un tournoi construit), vérifier la légalité de votre jeu (F6), afficher des statistiques et d’autres options comme la gestions des bases, et même un outil de création de Funcards. Pour l’import d’un deck, il doit être de la forme : 6 Forest 4 Mountain 4 Barbary Apes 3 Gorilla War Cry …(suite des autres cartes) Sideboard: 1 Red elemental blast ...(suite des autres cartes) Il faut impérativement laisser un espace entre la quantité et le nom de la carte (en anglais) et ne pas oublier les : après le mot sideboard qui spécifie les cartes de la réserve. Après l’avoir copié depuis un texte, le clic sur paste deck from clipboard (coller le deck à partir du presse-papier) fait apparaître une fenêtre de texte sur laquelle il suffit de cliquer sur work with it (travailler avec). Vous pouvez aussi générer des paquets scellés avec les extensions de votre choix pour vous entraîner au type 3. Voici le type d’écran qui apparaît : [img_article]11.jpg[/img_article] Utilisez le menu déroulant pour sélectionner un type de paquet d’une extension (booster ou starter) et ajoutez le à la liste. Lorsque votre choix est arrêté, (1 starter et 2 boosters par exemple) cliquez sur generate (générer) sans oublier de cocher add basic lands (ajouter des terrains basiques) et votre lot de carte apparaît alors dans la case inférieure. Il suffit ensuite de « travailler avec » (work with it) sous forme de base, de Deck ou de collection pour pouvoir créer un deck à partir de ce pool de cartes. Nous allons maintenant voir comment faire une partie de Magic ! III. Jouer à Magic avec MWS : Cliquez sur l’onglet Games (jeux), voici ce qui s’affiche : [img_article]12.jpg[/img_article] Faites une première partie en cliquant sur «Test Deck in Solo Mode» (tester le deck en mode solo) ou Ctrl+T afin de vous familiariser avec ce nouvel affichage. L’écran (démarrer un nouveau duel) apparaît alors, sur lequel vous pouvez voir votre deck, en changer et écrire votre nom ainsi qu’un petit message d’accueil qui s’affichera à chaque nouvelle partie. La version non enregistrée ne permet pas de choisir un deck différent pour son adversaire. Les développeurs envisagent de créer une intelligence artificielle qui permettra peut-être un jour de tester son deck contre l’ordinateur. D’ici là on fait tout soi-même ! [img_article]13.jpg[/img_article] Promenez vous sur ce nouvel écran pour vous faire une idée de ce à quoi ça ressemble. Nous allons passer directement à une présentation de ce qui se passe lors d’une vraie partie, ce qui sera plus parlant. Les modes opératoires que je vais présenter ne sont que des multiples façons de procéder, n’hésitez pas à jouer à votre façon, la seule contrainte étant de s’être mis d’accord avec l’adversaire avant. Vous vous êtes connectés à un chat comme celui dédié au jeu de Magic Corporation #Magicworkprentice que l’on peut rejoindre depuis le #magicthegathering sur le serveur irc.shivanet.org (avec l’applet de MC ou un logiciel de type mIRC) ou vous êtes en contact avec un joueur par le biais d’un logiciel de contact comme AIM ou MSN etc… Petite parenthèse sur ce chan #magicworkprentice, où je suis assez fréquemment : Pour signaler que l’on souhaite faire une partie, il suffit de taper !voice et d’expliquer aussi avec quel(s) type(s) de deck on souhaite jouer. Il y a en plus très souvent des joueurs expérimentés sur le chan principal, ce qui permet de poser des questions sur un problème de règles ou autre en temps réel ! Mais revenons à la partie : Vous êtes ainsi en contact avec quelqu’un qui lui aussi a MWS (la dernière version, c’est indispensable, si l’autoupdate ne semble pas fonctionner, vous pouvez le déclencher grâce à l’icône autoupdater de votre barre Démarrer ou dans votre répertoire C:\Program Files\Magic Workstation) et qui veut jouer avec vous. Pensez à vous accorder sur le type de deck utilisé avant de vous connecter ainsi que sur celui qui va appeler (call) pendant que l’autre attendra (wait). Ouvrez le deck de votre choix et cliquez sur l’onglet Games (jeux), puis sur connect to opponent (se connecter à un adversaire): La fenêtre suivante s’ouvre : [img_article]14.jpg[/img_article] Depuis cette fenêtre, celui qui va attendre passera sur l’onglet wait (attendre) qui se présente ainsi : [img_article]15.jpg[/img_article] Il suffit alors de cliquer sur la case wait (attendre) pour que votre adresse ip apparaisse (et surtout vous place en attente), puis en cliquant sur le sigle « copier », vous la récupérez pour la communiquer à votre adversaire en la collant sur la fenêtre (privée) de chat du logiciel qui vous relie. Lui de son côté est resté sur la fenêtre qui s’est ouverte et n’a qu’à coller cette adresse dans le cadre prévu à cet effet grâce au raccourci. (ou alors la recopier…) et ensuite appeler son adversaire. La connexion se produit alors et la fenêtre de jeu apparaît, lançant votre deck et votre petit message de bienvenue. [img_article]16.jpg[/img_article] Notez le fond vert, l’avatar et les modifications des symboles et icônes grâce au thème Malhavoc's Foil Theme.mwTheme. C’est le début d’une partie Type 1 avec mattevski. La partie droite de l’écran est une mini fenêtre de chat avec laquelle vous pouvez et devez communiquer avec votre adversaire. Toutes les actions effectuées par chacun des joueurs s’affichent automatiquement de chaque côté. Notez la présence de 5 touches de raccourcis qui envoient directement le message associé. Ok permet de confirmer ou d’acquiescer ; Pass cède la priorité ; Thinking montre à l’autre que non, on ne s’est pas endormi mais qu’on réfléchit ; Wait permet de montrer qu’on attend ou qu’on demande d’attendre un petit peu ; Stop permet de demander à son adversaire d’arrêter immédiatement sa séquence de jeu. Observez au passage la partie gauche de l’écran qui rassemble de façon assez esthétique toutes les infos utiles en cours de partie. La pile de carte est la bibliothèque avec le nombre de cartes restantes, la main est symbolisée par des cartes étalées, le cimetière par une tombe couplée à un tas de cartes. En dessous la pile barrée par une croix rouge est la zone retirée de la partie. Un clic droit sur ces différents items ouvre des commandes associées, comme dans l’onglet Action. Les ronds de couleur servent à signifier les manas en réserve. Pensez à les remplir (clic gauche) puis les vider (clic droit) pour clarifier certaines situations mettant en jeu de nombreuses sources de mana. Une petite astuce pour les utilisateurs de la capacité déluge (Storm), ces petites sphères peuvent être utilisées en les remplissant pour compter les sorts joués (celui des manas incolores par exemple) mais il est aussi possible de créer un jeton quelconque et d’y ajouter des compteurs (clic droit, add counters ajouter un compteur). La tête, une ombre noire avec le nom et le nombre de PV restants (ici avec ce thème un buste de personnage) désigne chaque joueur, cette option est personnalisable avec une version enregistrée. Un clic droit sur cette zone fait apparaître un tableau d’incrémentation et de décrémentation des PV. Le raccourci pour ajouter 1 PV est F12 et pour ôter 1 PV c’est F11. On peut aussi modifier directement son score par la fenêtre qui apparaît avec ctrl+L. Après avoir salué votre adversaire, lancez un dé de 20 afin de déterminer celui qui choisira de piocher ou de commencer. La commande se trouve dans l’onglet Action-roll a die (Action Jeter un dé) (Ctrl+I). Le nombre de faces du dé est 20 par défaut mais est configurable au besoin. Juste en dessous se trouve la commande (ctrl + F) pour lancer une pièce qui pourra être utile, mais pensez à écrire à votre adversaire votre choix avant le lancer^^. Votre deck est mélangé au lancement de la fenêtre de duel mais vous pouvez le remélanger grâce à la commande action shuffle (Mélanger la bibliothèque) (Ctrl+S). Celui qui a gagné le lancé de dé écrit s’il choisi de commencer ou piocher. Puis vient la pioche de la main de départ. Les moyens de piocher sont légion : un clic droit sur votre bibliothèque à gauche de l’écran (matérialisée par une pile de cartes avec le nombre de cartes restantes dans votre bibliothèque) ouvre une fenêtre dans laquelle vous pouvez entrer un nombre de cartes à piocher (7 ici). Vous pouvez aussi utiliser la commande dans l’onglet qui permet de piocher une carte. Le meilleure astuce est cependant d’utiliser la commande du mulligan de façon détournée : avec 0 cartes en main, cette commande fait piocher 7 cartes (Ctrl+M). Cette commande est aussi accessible grâce à un clic droit sur la main dans la partie gauche de l’écran ou depuis l’onglet action. Il faut ensuite signifier à l’autre si on garde sa main (un petit Ok ou un kp de keep par exemple) ou si on prend un mulligan. Pour cela, il suffit d’utiliser la commande vue juste avant, Ctrl+M ce qui remélange sa main dans la bibliothèque et fait piocher immédiatement une nouvelle main avec une carte de moins. Le jeu doit être rythmé (pour rendre cela fluide) par la barre centrale qui sert à faire défiler les phases du tour. Placez vous directement sur la première phase principale (case 1, voir l’image plus bas) si vous commencez. Pour jouer des sorts, il suffit de les déplacer depuis votre main vers la table de jeu en pensant à payer les coûts requis. Notez qu’une carte qui arrive en jeu engagée est reconnue comme telle par MWS et sera engagée par le logiciel dès son arrivée sur la zone de jeu. Un permanent s’engage par un double clic et se dégage ensuite de la même façon. Une fois que vous avez joué un sort, il faut dans certains cas (l’adversaire a des permanents sur table qui peuvent être utilisés ou encore deux îles sournoisement désengagées) montrer que l’on passe la priorité et que l’adversaire peut répondre. On peut utiliser le raccourci Pass ou encore écrire un point d’interrogation ? L’adversaire n’a plus qu’à cliquer sur Ok et le sort est considéré comme résolu. Sinon, à lui de répondre par des sorts ou des capacités. Ne placez le sort dans le cimetière qu’un fois son effet résolu. Pour le découpage d’un tour, la barre des étapes est très utile : [img_article]17.jpg[/img_article] _Un double-clic sur la première icône case 1 permet de détaper tous nos permanents en une seule fois, et la suivante (l’entretien case 2) s’illumine. Ctrl+U permet aussi de dégager tous vos permanents. _Un double clic sur la troisième case (case 3), (pioche) permet de piocher une carte et la case correspondant à la 1ère phase principale case 4 s’illumine. Ctrl+D permet aussi de piocher une carte, et un clic droit sur la bibliothèque permet d’accéder à une fenêtre pour entrer un nombre de cartes à piocher. _La phase d’attaque : Pour jouer simplement, le plus pratique est, depuis la 1ère phase principale de la barre des phases (case 4), de passer sur la 2ème case (case 6) des 5 centrales dédiées à l’attaque : C’est la phase de déclaration des attaquants, puis de cliquer sur les créatures que vous voulez envoyer au combat. Elle sont alors surlignées en rouge, puis de cliquer sur la case suivante (case 7 déclaration des blocs) pour montrer que vous n’attaquez pas avec d’autres créatures. Utilisez la case 5 dans les cas où l’adversaire peut répondre à l’entrée en phase d’attaque, en engageant vos créatures avec un icy manipulator (manipulateur glaciaire) par exemple. Le bouton Pass peut ici encore être utile pour céder la priorité lors de ces étapes souvent pleines d’éphémères surprises. Le joueur défenseur assigne alors ses bloqueurs en les désignant (un clic les surligne en jaune) et en créant des flèches ou en alignant les créatures pour bien spécifier qui bloque qui. Une fois tous les blocs choisis, il suffit que le joueur défenseur annonce que c’est tout (avec Pass ou Ok par exemple) ou encore en cliquant sur la case suivante (case 8 étape des blessures de combat), mais cela fait disparaître les flèches. Le joueur attaquant reprend les rênes, afin de jouer des sorts ou effets ou céder la priorité. Si le défenseur passe, c’est l’assignation des dommages et chaque joueur doit montrer à l’autre la répartition des dommages. Pour cela, il suffit de cliquer sur une créature (ou un joueur) en maintenant la touche Ctrl, un clic gauche ajoute un dégât alors qu’un clic droit en retire un. Puis après un passage de priorité, c’est la résolution et la fin du combat (case 9), la 2ème phase principale commence (case 10). _le raccourci Ctrl+barre d’espace permet d’avancer de phase en phase. _Pour annoncer la fin de tour, il suffit se placer sur la case 11 et d’appuyer sur Pass. L’adversaire peut jouer ses effets de fin de tour puis jouer le sien. C’est une convention à respecter. _Pour prendre le tour (ou le donner) il suffit de cliquer sur la case 13 _Si vous avez des effets précis de fin de tour, de défausse car trop de cartes en main… ou encore pour des matchs « très sérieux », utilisez chacune des étapes, y compris les toutes dernières (case 11 et case 12 et passez la priorité à chaque fois pour bien vous faire comprendre. L’onglet play (jouer) rassemble les commandes pour gérer ces étapes. En cours de partie, il y a de nombreuses commandes très pratiques : Le clic droit permet d’accéder à une foule de commandes, et ce depuis toutes les zones de jeu, n’hésitez pas à essayer un peu partout. Clic droit sur une carte, depuis les différentes zones de jeu, permet de faire apparaître une série de commandes pour interagir avec la carte (surtout des déplacements, en dehors de la table) en vrac : Engager/dégager, sacrifier, déplacer, ajouter ou retirer des compteurs, regarder une carte face cachée, la retourner ou encore fixer la force et l’endurance d’une créature. Lorsqu’une carte est sélectionnée (par un simple clic), ces commandes de déplacement sont aussi accessibles depuis l’onglet cards (cartes) et les commandes de modifications depuis l’onglet permanent (permanent) Faire une flèche (pour désigner la cible d’un sort par exemple) : il faut effectuer un clic droit sur la source (une carte en jeu de notre côté) en maintenant le clic appuyé puis déplacer le curseur sur la cible (une autre carte en jeu ou un des deux joueurs par son portrait). Là il suffit de relâcher le clic de la souris et une flèche rouge apparaît. Il est aussi possible de faire une flèche jaune en maintenant le bouton shift lors de ces manœuvres. Retirer une ou toutes les flèches Alt + BackSpace permet d’effacer la dernière flèche et Ctrl + BackSpace les efface toutes. La commande Ctrl+shift+clic gauche sur une carte permet elle de faire apparaître le nom de la carte dans la boite de texte, ce qui peut aussi être pratique pour désigner une cible. Créer des jetons Dans action, create token (créer un jeton), il est possible de créer et de mémoriser un profil de jetons qui pourra être réutilisé, ce qui est très pratique. Après avoir entré les caractéristiques du jeton sur la fenêtre apparue (on peut même mettre un texte d’ambiance !), cliquez sur Add (ajouter) pour mémoriser le jeton. Il sera alors accessible plus rapidement grâce à un clic droit sur la zone de jeu. Pour les permanents qui ne se dégagent pas normalement (comme l’ Mana Vault (arche de mana)), afin d’éviter de les dégager en même temps que tous les autres, il suffit de faire un clic droit dessus et d’activer l’option « do not untap as normal » (ne se dégage pas normalement), un effet surligné en pointillé apparaît et la carte ne se dégagera pas lors d’un double clic sur l’untap case 1. Pour accéder à son sideboard (sa réserve) en cours de partie, avec un souhait par exemple, il suffit de cliquer sur view, my sideboard (voir, ma réserve). De là, il est possible de déplacer une carte et de la mettre en jeu ou en main. L’onglet view (voir) regroupe des commandes pour accéder et manipuler les cartes des deux côtés de la table. Sélection Il est possible de sélectionner une série de cartes en main ou de permanents d’un seul coup en les encadrant dans une zone de sélection avec le curseur de a souris, ou encore en maintenant le bouton shift à chaque clic sur une carte. C’est très utile pour déplacer plein de cartes d‘une zone à l’autre d’un seul coup (après une colère, de la défausse etc…) De même, pour les déplacement massifs de cartes depuis des zones de jeu comme le cimetière, la bibliothèque ou encore la zone RFG (Remove From the Game/retiré du jeu) Le bouton shift est très utile pour modifier des actions, comme déjà vu pour la couleur des flèches par exemple : Pour poser une carte en jeu il suffit de la déplacer avec un clic gauche maintenu depuis la main sur le plan de jeu. Avec le bouton shift maintenu, la carte arrive en jeu face cachée et pourra être consultée à tout moment par un clic droit pick at a facedown card (regarder une carte face cachée) et retournée par clic droit flip card over (retourner une carte face cachée) Ceci est possible pour des cartes de la main mais aussi de la bibliothèque. Le bouton shift sert aussi à déplacer une carte depuis la main ou le plan de jeu sur le dessous de la bibliothèque alors que sans, cela la place sur le dessus. Prendre/donner le contrôle d’un permanent Pour donner le contrôle d’un permanent à l’adversaire, il suffit de glisser la carte vers le plan de jeu adverse. A l’inverse, pour prendre un permanent adverse, il faut effectuer un clic droit puis take control (prendre le contrôle) Pour jouer avec une carte comme Shared Fate (Destin Partagé), à la phase de pioche, il faut déplacer la carte du dessus de la bibliothèque sur le plan de jeu en maintenant shift puis de passer cette carte à l’adversaire, toujours en maintenant shift appuyé. L’adversaire pourra découvrir la carte grâce à pick at a facedown card (regarder une carte face cachée). Révéler des cartes : Pour montrer une carte au hasard, la commande apparaît par clic droit dans la zone qui montre les cartes en main ou depuis l’onglet show (montrer). Pour jouer avec la carte du dessus de la bibliothèque révélée, allez dans l’onglet show (montrer) Pour jouer avec les cartes de sa main révélées, il faut soit toutes les sélectionner et cliquer sur révéler (par clic droit ou dans l’onglet action) en pensant à le faire pour chaque carte nouvellement piochée ou tout simplement les poser sur le plan de jeu. Si un sort ou un effet vous oblige à défausser une carte au hasard, vous pouvez le faire depuis la commande du clic droit dans la zone qui montre les cartes en main, sur la main avec le nombre de cartes ou depuis l’onglet Action. Pour faire une nouvelle partie, file new game (F2). Un nouvel écran apparaît et vous pouvez alors garder le même deck, sider ou désider, ou encore en changer. Pensez à vous mettre d’accord avec votre adversaire car il est bien inutile de sider si lui ne le fait pas. Avant de quitter cette partie, notez qu’il est possible d’enregistrer le log de la partie sous forme de fichier texte depuis l’onglet File (Fichier), ce qui peut s’avérer très utile lors de tournois en ligne, pour le communiquer aux organisateurs ou arbitres. IV. La communauté internet Dans l’onglet Games (Jeux), vous pouvez accéder au module de chat de MWS (ou en cliquant sur F2) afin de rencontrer d’autres utilisateurs du logiciel. C’est un lieu international et la langue est donc par défaut l’anglais. C’est assez similaire au chan #magicworkprentice, avec un peu plus de monde et pas en français. Une autre possibilité pour trouver des joueurs du monde entier (et parfois même des français mais c’est rare) c’est de lancer le module de jeu par la commande game connect to opponent (Jeux Se connecter à un adversaire) comme si vous aviez un adversaire et d’entrer mwsplay.net comme adresse ip sur l’écran d’appel (il devrait y être par défaut). Un clic sur call vous ouvre une fenêtre de ce type : [img_article]18.jpg[/img_article] Dans l’ordre, le pseudo de la personne, le type de partie qu’il souhaite faire, et s’il est en attente d’un joueur, le bouton Join au bout. Il suffit de cliquer dessus pour le rejoindre et commencer la partie. On voit ici des joueurs intéressé par du type 2, de l’étendu, du type 1 et même du 1.5 (c’est rare), le tout à des niveaux plus ou moins sérieux. Cependant ces niveaux sont assez subjectifs, et il n’y a aucune régulation sur ce type de host. On tombe malheureusement parfois sur de mauvais joueurs (dans tous les sens du terme) voire pire mais heureusement on trouve aussi des gens très sympa de temps en temps, et venant des quatre coins du monde. Pour créer une partie, il suffit de cliquer sur Create New Game en haut à gauche et d’y rentrer le type de partie recherchée. Ce biais de mise en contact permet aussi de contourner les problèmes de Firewalls et de routeurs qui peuvent gêner certains utilisateurs : Comme sur l’image, Timmy et Akira veulent jouer à MWS mais sont protégés par un firewall et ne peuvent ni l’un ni l’autre recevoir l’appel lorsqu’ils se mettent en wait (attendre). Il suffit alors qu’ils viennent sur l’interface mwsplay.net et que l’un d’eux (ici Timmy) crée une partie en spécifiant qu’il attend Akira (Akira only par exemple). Akira n’a plus qu’à le rejoindre ! V. Conclusion Voilà, vous êtes désormais initiés à MWS, à vous de l’explorer encore plus avant, vous y trouverez sûrement plein d’autres astuces et raccourcis ! Si vous avez des problèmes sur le logiciel ou envie de faire quelques parties, n’hésitez pas à venir sur le chat de MC ou à poser vos questions dans les commentaires, j’essaierai d’y répondre et de compléter l’article. Un forum de MC est aussi dédié au jeu en ligne, Magic sur la Toile, sur Pc, sur console. J’espère que vous aurez trouvé dans cet article plein de réponses à vos questions, et que vous aussi goûterez aux joies de pouvoir expérimenter absolument tous les decks que vous voulez à toute heure, sans compter toutes les autres possibilité qu’offre MWS. Merci de m’avoir lu, je m’excuse auprès des membres de MC car cet article est « quasi-fini » depuis déjà plus de 5 mois et je n’avais pas réussi à trouver les temps pour le terminer. Salut aussi à Kugaiji, qui avait lui aussi commencé un article sur le même sujet, j’ai été un peu long mais je voulais faire ça à fond ! Je passe pour finir un petit coucou à tout ceux avec qui il m’arrive et il m’est arrivé de faire des parties de MWS dans tous les types (ils se reconnaîtront), vous êtes cool les gars ! Le bazar regorge d’articles sympas, venez l’explorer mais aussi le remplir ! Kuroro, depuis la forêt du jeu en ligne.

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